Et il y a toujours quelque chose qui me reÌveille ici Câest eux qui avalent la nuit, Laissent le tannin des reÌves se perdre Aux leÌvres seÌches des insomnies
Et sâil faut se dire, se souvenir Ils diront « Les heures ont fileÌ» Ils tairont les aurores feÌleÌes Et le bruit des cleÌs qui rugit
Et par ailleurs les crocs sâaffinent Et de tout temps le temps affleure La pluie fricote, la pluie farine Et le sommeil qui pose ses heure
Et par ailleurs, un bel ailleurs Il ne faut pas manquer de vivre Et le sommeil attendra bien Quâune autre que moi veuille bien le suivre Jâai mieux Les yeux Ouverts
Leurs yeux Mi-bleus Mi-mer
Et il y a toujours quelque chose qui me reÌveille ici Câest eux qui boivent la nuit, Laissent le tannin des reÌves se perdre Aux leÌvres seÌches des insomnies