J´ai jamais voulu te raconter l´histoire d´un cygne pas trop bavard D´un oiseau prisonnier du noir dont les ailes n´inspiraient plus l´espoir Souvent je voulais t´éloigner des pensées noires d´un cygne un peu trop plaignard
D´un oiseau secouru trop tard dont les ailes servaient d´échappatoire
Alors, alors à tort, il s´usait au corps à corps Aveuglé par l´habitude, il frôlait l´ingratitude Alors jusqu´à l´aurore, l´oiseau cherchait du réconfort Angoissé par ses questions, il souffrait d´abandon
J´ai longtemps vu un cygne voler à peine Tourmenté par le règne d´opinions peu sereines Il crut longtemps les signes des âmes en peine Aveuglé par la haine d´obsessions malsaines J´ai longtemps vu un cygne planer à peine Trop hanté par les scènes d´humiliations mondaines
Il crut longtemps les signes des cœurs en peine Envieux de son amour, ils le comblaient de haine
Vis avec toi-même sans faire de compromis, laisse-toi savourer l´ennui Seul à seul avec toi c´est aussi comprendre l´origine du conflit Fais preuve de résilience même s´il t´a tout pris, essaie d´éclairer l´ennemi "Pardonner ses erreurs c´est accepter l´imperfection", c´est ce qu´ils m´ont dit
Alors, alors encore, abandonne le corps à corps Laissons l´abus d´illusion et laissons la dérision
J´ai longtemps vu un cygne voler à peine Tourmenté par le règne d´opinions peu sereines
Il crut longtemps les signes des cœurs en peine Envieux de son amour, ils le comblaient de haine
Je fus longtemps ce cygne volant à peine Tourmenté par le règne d´opinions peu sereines Je crus longtemps les signes des âmes en peine Aveuglé par la haine d´obsessions malsaines Je fus longtemps ce cygne planant à peine Trop hanté par les scènes d´humiliations mondaines Je crus longtemps les signes des cœurs en peine Jaloux de mon amour, ils m´aimaient de haine