L´ampleur des peines les gène et ça se voit, ma gueule Rends-leur la monnaie de la pièce, qu´ils s´aperçoivent un peu Oublie les menaces sales qui tracent leurs routes
Émanent le long du tier-quar, à mesure qu´le soleil s´écarte Tu croisais des gens pas nets attendant ton départ Sous l´abri des bons salaires, allant compter tes regards Là, tu rentres chez toi, l´air désemparé Tu croises les rents-pa, mais tout ça sans parler Tout à coup t´avoues à tous que l´effet d´la drogue t´a empalé Que les mecs d´à côté t´ont phasé sous l´accumulation des menaces Qu´il ait vu que t´aies fait passer mais quel est ce doux vice Qu´élimine la plupart d´nos amis, hein, quel est ce doux vice Qui débute pour un rien, finit par une usure
Tokyo au début nous met bien mais nous vole les neurones Dis-moi, dis-moi, ce qu´il se passe quand tu n´as pas sa queue Les thunes à papa sont sous la table basse Hein, dis-moi, dis-moi, ce qu´il se passe Quand tu n´as pas sa queue Les thunes à papa passent sous la table basse
Hello, hello, ici L.O.N.E.P Venu pour élever les mots, non pas les dépecer J´ai mon ego qui m´dit "Eh oh t´es teubé" Quand les bédots m´élevant mêlé aux bienfaits des laissés La nuit, mes lésions ne me laissent pas zen Allumer des joints minimisait mes peines Après, si on t´presse, la pression s´fera Alors apprécions c´game sans affection plate
Ça s´concilie à rien, sans conciliabule Et sans qu´on s´immisce à 10 quand les cons irritent à plus Et nous ressentons cette insolence nous Quand c´est un seul être qui nous devient insolite Quand s´éteint notre pet´ et qu´la mélancolie vient d´office Moi, j´ai vu des gars, des couples, des délégués, des gros dégâts Après des gamelles et des gueules égarées Loin des halls, des guerres éparpillées parmi les cœurs et volées par Des potes à la pitié rare À la fin d´ce couplet, mon fort intérieure m´a dit : "Dépose ta larme ici et pars" À la fin d´ce couplet, mon fort intérieure m´a dit : "Dépose ta larme ici et pars"