Pour se voir on devait attendre la nuit On était finalement comme deux étoiles La tombé du jour était par conséquent le moment que l´on préférait Chaque instant était preste et véloce et venait contredire l´éternel
Pour se voir on devait attendre la nuit On était finalement comme deux étoiles
C´est comme un au secours serein, je fais encore ce rêve Ou ton joli corps serait prudemment incarceré Par cœur serré, car c´est réel. Au fond de tes yeux je vois encore ces ruelles Celles qu´on arpentait pour revenir chez soi (l´odeur de l´été me revient tout à coup) Arrivés en haut de la colline on avait soif Les étoiles nous remplissait l´âme goutte à goutte J´aurais souhaité que cette vue soit un tableau et nous dur plus d´un voyage Une peinture qui comme une vague s’achèverait par une incroyable noyade Mes cheveux dans l´herbe et les tiens prés de mon torse
Je ne t´ai jamais vue si loyale Lorsque j´en bois trop, tous les chemins me mènent à toi Mais tu demeure à jamais injoignable.
Pour se voir on devait attendre la nuit On était finalement comme deux étoiles La tombé du jour était par conséquent le moment que l´on préférait Chaque instant était preste et véloce et venait contredire l´éternel
La lune éclairait ton visage et déshabillait tes énigmes Elle auscultait nos pensés, mélangeait nos corps et nos esprits On questionnait les astres en se demandant l´intitulé de leur histoire
Pourquoi ces étoiles n´ont pas laissé le pouvoir au ciel de devenir noir La tombé du jour était par conséquent le moment que l´on préférait Chaque instant était preste et véloce, et venait contredire l´éternel