On verra bien (on verra bien) On verra bien (on verra bien)
[Couplet unique] J´ai pansé mes parties qui saignent avec le sel de l´eau de la mer
L´ange de la mort souhaitera toujours prendre mon âme vers l´au delà mais Tout cela m´est artificiel Tant d´appelés pour si peu d´élus rongés par le froid du déluge La race humaine sacrifie le ciel Grandis dans le désordre Je pleure mes fautes et mes défauts, mes plaies se résorbent Je me construis dans mes blessures et non pas dans le regard des autres mais c´est sûr que je me garde des vôtres Mon égo se perds dans ses césures Et ça fait des heures, que je médite sur ma personne, la lumière pénètre les sous-sols comme ton regard quand tu m´aperçois Mais à part ça je me fais tout seul, faut garder son orgueil pour soi
Finit sous le ciel, en rêvant de percer Je vois le monde en rouge sous mes Persol La main tendue, je remercie ceux qui m´attendaient "Sois sûr de toi" m´a-t-on dit Mais parfois les temps sont durs, après l´orage les tensions durent, ce matin d´hiver qui m´attendrit J´entends le bruit des rivières pourpres quand le ciel s´était étendu On manie la magie des cartes écris l´histoire à l´encre indélébile Intelligent, mais surtout intelligible Devant moi le ciel s´écarte je promets qu´il ne vont pas m´oublier Pars de rien, fais des milliers, dans l´immobilier Pute ma peine est démentielle, laisse place à la rédemption
Si les anges pleurent, les démons saignent je suis trop anxieux car les vents sont pas toujours favorables Mais les étoiles filantes qui dansent éclaboussent toutes les reflets de mon ciel Faut savoir prêcher la morale, je revois mes espoirs Empêchant mes pêchés de disparaître pendant l´orage La rage me laisse croire, n´est-ce pas, quand il est trop tard que les larmes versées coulent à même le trottoir A force de trop de proximité, ils finissent tous par s´imiter Ma partie noire s´empare de vos égos, vous repartez sans dignité La concurrence est limité, je féconde leur mère, ce sont mes fils