Tu voudrais lire en mon âme tu voudrais mieux me connaître
Et savoir si d’autres femmes savoir si d’autres peut être Ont connu dans ma jeunesse Avant toi les mêmes caresses
Je t’aime, je t’aime, c’est tout Ce mot qui nous rassemble Me semble Très doux J’ignore les phrases qu’on dit Le chant que le poète Répète Me fuit ; Je reste Sans geste Sans voix Je ne poursuis sans trêve Qu’un rêve,
C’est toi Dans tes mains je suis un joujou Car toujours et quand même Je t’aime… C’est tout Au lieu de poursuivre un doux songe Pourquoi Soupçonner toujours des mensonges Crois-moi Le doute Déroute L’amour Goûtons à la joie pure Qui dure Toujours Viens vite Petite chez nous Et songe que je t’aime,
Je t’aime, C’est tout
A quoi bon chercher les causes Respirons, vite les roses Sans penser, l’âme apeurée Que d’autres les ont respirées
Je t’aime, je t’aime, c’est tout Ce mot qui nous rassemble Me semble Très doux J’ignore les phrases qu’on dit Le chant que le poète Répète Me fuit ; Je reste Sans geste
Sans voix Je ne poursuis sans trêve Qu’un rêve, C’est toi Dans tes mains je suis un joujou Car toujours et quand même Je t’aime… C’est tout Au lieu de poursuivre un doux songe Pourquoi Soupçonner toujours des mensonges Crois-moi Le doute Déroute L’amour Goûtons à la joie pure Qui dure Toujours
Viens vite Petite chez nous Et songe que je t’aime, Je t’aime, C’est tout