FrĂȘle et froide comme un vent de septembre Je restais souvent lĂ , seule le soir, Ă tÂŽattendre Je te cherchais, je te perdais souvent Les semaines passaient, je revenais pourtant
Mais comment oublier Quand le cĆur te prend au corps Mais comment sÂŽen aller Quand la petite mort te prend au ventre