Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide
Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite
Pas b´soin de géolocalisation dans cet anus cosmique La déesse de ménage nettoie le monde à l´acide caustique Autant reprendre un peu d´amour entre les cuisses de ta petite L´ivresse de son cépage, c´est un voyage initiatique
Le chat crevé sur le bitume m´a indiqué l´unique chemin M´a dit : "Bonsoir et à bientôt", les vers reprenant le turbin Éclats de rire jaune, électro smog et paradis perdu Milton boit du Cîroc, travaille des flows techniques et brûle verdure Cependant qu´entre les stores de ma fenêtre la lune se glisse Je respire tout l´air que j´peux en attendant qu´l´orgasme grise À chaque siècle ses espoirs À chaque génération ses troubles, triple foyer est dérisoire À méditer pour plus tard, je dois pointer au boulot Ce soir, je commanderai deux pintes : la mienne et la part du bourreau
Ne croirai rien des conneries que me débitera le goulot Il est taxé par l´État et rend fleur bleue comme Julio
Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite Le plafond couvert d´arachnides, mon crane n´est qu´une baraque vide
Il faut que tu t´arraches vite, ce monde est plein d´arthrite
Je me déplace dans un compartiment, cet équateur n´est qu´un périphérique Le mur du son, c´est un long bâtiment ; nous n´volons plus, nous sommes paraplégiques L´ancestral ambroisie, c´est du Ricard ; ferme un Balzac, ouvre un Frédéric Dard Troque tes semelles contre une armée d´Icare ; tous égaux et libres dans ce joli mitard Harmonie miteuse tel hôtel sans étoile, il y a des néons dans tes rêves, ça te va Tu t´en contenteras comme un gosse esseulé faisant de son crane un vaste soleil Un continent calme, une comptine inca, un don qu´on enclave, un bon qu´on manqua Un cri qu´on lancera qui n´aura pas d´écho, ainsi se vendra duplicata d´ego