J´déboule un brûlot dans la bouche, j´débite des pruneaux dans l’abîme M´abaisse le bâillon et habille, là-bas, le bailleur et la bitch À bord d´embarde et c´est bandant, j´ai les baloches dans la balance
La bandoulière pleine de balafres, la bouille en bris de Jack Palance Demeure baroque sans le blabla bancal, Pac mêlé à Joey Bada$$ Barricade et belle époque, balai dans un bar à ´tasse Besoin de pas larguer du lest, bribes d´bitures et puis cure Épicure dans les bas-fonds se blinde de binchs et les bras d´piqûres Big Brother en bikini écoute Biggie et "Billie Jean" Brasse les biff, fébrile et vide, abonné à des beuveries pires Bois l´ambroisie à la bouteille à bride abattue, je bascule Habilité à peiner, baigner dans les bagages de Bacchus
Baroude et bafouille battant le pavé de la butte Abusant d´encre et burinant le brasier brillant de la lutte Braquant le pado, lui débitant mon baluchon de bombes Face aux balles à blanc des paladins rêvant de boules de blondes Baise en ville, en basse campagne, hymen dans une bacchanale Barbituriques à balancer comme ton salaire au baccara Au bal masqué, oh hé, oh hé, je balbutie mon bout de berceuse Abâtardi par le Bacardí, je suis Burma pas Tardi Bijoux dans le banal, bilan le biz te banave Balvenie dans les babines, j´ai l´douze, ils font des balades
Bisous dans le palace, bilan le buzz te ball-trap Balivernes absorbées, la baffe réelle te marave
"When you write, your words must go like this: bim, bim, bim Each line must be full of a delicious little juice. They must be full of power."
Ambivalent dans une ambiance semi-balourde et pluie battante Et puis puis va-t´en vider ton bas-ventre dans les bacchantes de la BAC Entrant boitant dans une boite en sapin bio, oublie donc ton bulletin, bro Il ne te suivra pas dans ta saison en Enfer comme Rimbaud Pas la peine de palabrer, j´emmerde les jeunes branchés
Et laisse bancal le brancard et banco comme Benny me recarde Et baise l’enclos, bouleverse avec le baroud d´honneur Nique les trente deniers, je braille et broie les bonimenteurs d´honneur Pour ça, la baisse et bouillabaisse de gros poissons, pas des Barbès Bronzé dans le Seine, bizarre, les bleues n´alertent pas la presse Libéral est leur Paradis mais ces bâtards te baratinent Se baratinent, ces ânes bâtés n´ont plus de face comme Anakin Abattoir à bidoche pauvre, je me barre en bi-cross, gros Bordel à Babel, la bile déborde et gicle ici l´hosto
Bataille dans les boyaux, barrage sur les canaux L´information bourdonne en badtrip, tombe dans le panneau Avenir en solution buvable, y´a qu´des couplets dans mon buvard Rien dans les bulbes et ces bonnards bulgares buccal dans un plumard Brutal et brusquement bégaie, députés bedonnants décrètent En attendant, je braille et puis m´en branle plongé dans un Beckett
"Bim, bim, bim. Bim, bim, bim. Bim, bim, bim. Bim, bim, bim Each line must have his own power, his own feeling, his own juice, his own flare. And you have to have juice in each line, don´t you see ? You don´t believe me ? Fine, try to tell you. I´ve got so... ??? me to sleep."