Roman d´gare, mauvaise intrigue, j´me contente de c´qui m´habite Plus l´temps d´monter ma pyramide, quart d´heure de gloire à prix d´ami Tous, on s´égare, [?c´est pire à vif?], voient pas plus loin qu´leur paradis
??? d´leur p´tit canif, j´m´en bats les couilles d´vos Qataris La seule voie, c´est loin des gens, j´peux plus vous voir, c´est pas méchant Et, si j´pouvais, j´hésiterais pas, vivrais à plusieurs lieux de moi Même mes angoisses posent la dédite, mon crâne est trop mal fréquenté ??? dans l´eau bénite, cagoule noire et mains gantées
Je fuis la lumière mais elle brille moins, plus de formule dans le grimoire Réel sur la tempe et je prie moins ; au bout de la route, c´est la ville noire Je fuis la lumière mais elle brille moins, plus de formule dans le grimoire Réel sur la tempe et je prie moins ; au bout de la route, c´est la ville noire
À quel moment j´ai perdu l´fil ? Bâti palais dans des rues lo-fi Cancer antique dans le bleu des veines, regard taillé dans le bois d´ébène Éden en ruines dans le noir, eh merde, une brique est une brique, et ma voix s´élève Les murs porteurs de ma joie de père, rester créateur sous le poids des siècles Rester bénéfique sous le poids des règnes, l´idée s´épaissit sous le toit des maîtres Lame dans la poche attendant l´aurore, drame en approche et je tends l´oreille Sommeil amputé par l´orage et le vent, retire mes brassards puis je nage dedans Troublé depuis que j´ai l´âge de tendre des pièges dans lesquels je tombe sans m´défendre Plus qu´des vides sous crânes et sternums, ils ont tous peur de n´être personne
Remplacent la vie par des filtres et des cœurs, dépolitisés comme des bons électeurs Chaos mental, voix sans effet, soigne mes troubles avec des livres bien épais Chaos rentable, voie sans issue, Warren G remplissant fond diffus