💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales 🎤💃

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Artiste : Lucio Bukowski
Titre : Décadent
Finir en croix sans la passion
J´porte une couronne dans la station
Parle tout seul, Dieu me digère
Effluves de Gin dans la prière
Pas de vago mais le plein d´fuel

J´me rends nulle part mais par plein d´routes
Souriant, j´sais ménager mes effets
Pas assez d´doigts pour compter mes défaites

Les nuits, c´est des rimes astrales
Les gens, c´est des filtres Insta
Des vies dans des rires instables
Des vides et des visages pâles
Les nuits, c´est des rimes astrales
Les gens, c´est des filtres Insta
Des vies dans des rires instables
Des vides et des visages pâles

Chacun sa fin, d´L-Y-O-N à New Delhi
Vies squelettiques, très peu d´art, c´est des Kundelich
J´accumule monnaie, certains qu´ils sont libérés

Finiront fous mais sans talent de Lee Perry
Hystérie collective boit l´eau du verre à dents
Piranhas sociaux viennent chauffer le fer à blanc
Toute cette vitesse n´est peut-être que la pire attente
Esprit décadent comme Villiers de L´Isle-Adam
Voyager toujours mais le mouvement les horrifie
J´collectionne des planisphères que je modifie
Joue à l´oreille chaque douleur qui me codifie
J´connais mon truc, wesh, comme Van Gogh et Holyfield
L´heure épie nos faits et gestes, nous sommes pauvres et libres
Système solaire dans le crâne, sexe en obélisque
La matière noire nous dilate depuis saut du lit
Rien n´sert de tremper mains sales dans de l´eau bénite

Les nuits, c´est des rimes astrales
Les gens, c´est des filtres Insta
Des vies dans des rires instables
Des vides et des visages pâles
Les nuits, c´est des rimes astrales
Les gens, c´est des filtres Insta
Des vies dans des rires instables
Des vides et des visages pâles

Pratique l´ascension dans des déclins truculents
Traverse voies respiratoires d´un objet plus grand
Eh, j´préfère le feu aux mets succulents
Toujours ignorer où tes pieds atterriront
Eh, j´suis quasiment calciné, fasciné, raffiné
J´évite tempêtes, ouais, sans vaciller
Sablier retourné, l´enfant déraciné

Ne repousse pas hors du temps qu´on a gaspillé
L´idéal enterré sous des couches brunes
Le goudron des siècles scintille sous une fausse lune
Pluie de poussières et d´archanges au chômage
La mort peaufinant son travail de gommage
Je brouille les cartes dans l´ordre des choses
Disperse au vent illusions de jeunesse
Durant ma chute, des fois, j´m´offre des pauses
Je pense à ??? d´ici que je renaisse
Nos grands ensembles sont des olympes pas chères
Accueillent anciens Dieux avalant leurs cachets
Bellec, le désert, c´est l´avenir et, chez Bouygues
Ils recrutent élus pour damnés CDI
L´entropie augmente comme les taxes et les meurtres
J´fais venir mon alcool d´une épicerie d´Andorre

Les héros d´antan feront partie de l´émeute
Dans les trottoirs crasseux, y´a des gorgones en Dior

Des corps repeints, c´est la même et, la mêlée
S´épaissit, s´étale à travers mauvais mélo´
Disons que tout ça reste un secret bien scellé
La vie sacrifiera ses enfants comme Médée
Des corps repeints, c´est la même et, la mêlée
S´épaissit, s´étale à travers mauvais mélo´
Disons que tout ça reste un secret bien scellé
La vie sacrifiera ses enfants comme Médée