Finir en croix sans la passion J´porte une couronne dans la station Parle tout seul, Dieu me digère Effluves de Gin dans la prière Pas de vago mais le plein d´fuel
J´me rends nulle part mais par plein d´routes Souriant, j´sais ménager mes effets Pas assez d´doigts pour compter mes défaites
Les nuits, c´est des rimes astrales Les gens, c´est des filtres Insta Des vies dans des rires instables Des vides et des visages pâles Les nuits, c´est des rimes astrales Les gens, c´est des filtres Insta Des vies dans des rires instables Des vides et des visages pâles
Chacun sa fin, d´L-Y-O-N à New Delhi Vies squelettiques, très peu d´art, c´est des Kundelich J´accumule monnaie, certains qu´ils sont libérés
Finiront fous mais sans talent de Lee Perry Hystérie collective boit l´eau du verre à dents Piranhas sociaux viennent chauffer le fer à blanc Toute cette vitesse n´est peut-être que la pire attente Esprit décadent comme Villiers de L´Isle-Adam Voyager toujours mais le mouvement les horrifie J´collectionne des planisphères que je modifie Joue à l´oreille chaque douleur qui me codifie J´connais mon truc, wesh, comme Van Gogh et Holyfield L´heure épie nos faits et gestes, nous sommes pauvres et libres Système solaire dans le crâne, sexe en obélisque La matière noire nous dilate depuis saut du lit Rien n´sert de tremper mains sales dans de l´eau bénite
Les nuits, c´est des rimes astrales Les gens, c´est des filtres Insta Des vies dans des rires instables Des vides et des visages pâles Les nuits, c´est des rimes astrales Les gens, c´est des filtres Insta Des vies dans des rires instables Des vides et des visages pâles
Pratique l´ascension dans des déclins truculents Traverse voies respiratoires d´un objet plus grand Eh, j´préfère le feu aux mets succulents Toujours ignorer où tes pieds atterriront Eh, j´suis quasiment calciné, fasciné, raffiné J´évite tempêtes, ouais, sans vaciller Sablier retourné, l´enfant déraciné
Ne repousse pas hors du temps qu´on a gaspillé L´idéal enterré sous des couches brunes Le goudron des siècles scintille sous une fausse lune Pluie de poussières et d´archanges au chômage La mort peaufinant son travail de gommage Je brouille les cartes dans l´ordre des choses Disperse au vent illusions de jeunesse Durant ma chute, des fois, j´m´offre des pauses Je pense à ??? d´ici que je renaisse Nos grands ensembles sont des olympes pas chères Accueillent anciens Dieux avalant leurs cachets Bellec, le désert, c´est l´avenir et, chez Bouygues Ils recrutent élus pour damnés CDI L´entropie augmente comme les taxes et les meurtres J´fais venir mon alcool d´une épicerie d´Andorre
Les héros d´antan feront partie de l´émeute Dans les trottoirs crasseux, y´a des gorgones en Dior
Des corps repeints, c´est la même et, la mêlée S´épaissit, s´étale à travers mauvais mélo´ Disons que tout ça reste un secret bien scellé La vie sacrifiera ses enfants comme Médée Des corps repeints, c´est la même et, la mêlée S´épaissit, s´étale à travers mauvais mélo´ Disons que tout ça reste un secret bien scellé La vie sacrifiera ses enfants comme Médée