J´remonte les courants du monde libre, pirogue s´éloigne de leur ??? Un peu d´alcool et un bon livre, un bout d´atoll et un bon deal Garde à l´esprit que tes angoisses sont les golems que tu nourris
Aiguise la lame qui est en toi, contrôle la joie que tu jouis J´ai deux photons sur le visage, énergie noire dans le pliage Nouveau matin, nouveau rivage, creuse des tunnels sous le grillage M´échappe encore de leurs cachots, vis dans un haïku de Basho Des seins tendus sous des draps chauds, très attendu dans le chaos Vide assidu sous constellation, jamais de lot de consolation Pas de vertu, pas de tentation, glisse tes cauchemars sous les fondations Les mots ??? dans le pur malt, fabrique la nuit depuis plus bas L-Y-O-N, Annapurna, toujours solitaire comme le puma
J´fais peu de songes et le monde change, j´m´en lave les mains dans le bon Gange L´hiver approche et se condense, aucun sourire pendant qu´on danse Aucun soupir pendant qu´on tranche ce bout de nous qui nous démange ??? morte est la sentence, couteau s´enfonce dans le bon sens J´fais peu de songes et le monde change, j´m´en lave les mains dans le bon Gange L´hiver approche et se condense, aucun sourire pendant qu´on danse Aucun soupir pendant qu´on tranche ce bout de nous qui nous démange ??? morte est la sentence, couteau s´enfonce dans le bon sens
J´élève la tête et mes Colt Double contre l´empire de mes propres doutes Écoute un disque de ???, serein, me glisse dans tes corolles douces Brise mes phalanges sur des portes de fer, et puis pousse l´entropie dans les corps de frères Créer toujours est effort de guerre, plus de paupières mais la mort te guette Putain d´insomnie, papier blanc, je ne modifie pas mes plans On reste solide dans ce barge néant ; nos petits chants, c´est des pas d´géant Nos petits chants, c´est des drames en actes, des archétypes que l´on narre en track Petit Concorde, les ailes en flammes, peut-être on dort dans de pires enfers Cœur de la ville, nuit sans clarté, j´vois dans l´abîme sans m´écarter
Yeux dans les yeux, vide escarpé, à chaque naissance, un rescapé Cœur de la ville, nuit sans clarté, j´vois dans l´abîme sans m´écarter Yeux dans les yeux, vide escarpé, à chaque naissance, un rescapé
J´fais peu de songes et le monde change, j´m´en lave les mains dans le bon Gange L´hiver approche et se condense, aucun sourire pendant qu´on danse Aucun soupir pendant qu´on tranche ce bout de nous qui nous démange ??? morte est la sentence, couteau s´enfonce dans le bon sens J´fais peu de songes et le monde change, j´m´en lave les mains dans le bon Gange L´hiver approche et se condense, aucun sourire pendant qu´on danse
Aucun soupir pendant qu´on tranche ce bout de nous qui nous démange ??? morte est la sentence, couteau s´enfonce dans le bon sens