La clope du créateur lui brûle les doigts Ça fait des petites comètes dans la nuit bleue Sans plus d´étoile, sans plus d´éclat La fête finit, tu croyais quoi ?
Le vagin des modes vieillit Mes dernières rimes sont plus étroites mais, purée, droites Tu trouveras les crasseuses, là, dans les charts J´étais trop pris par l´encre, pour éviter, attends les jams Merde, je suis dans les (rates?), je suis dans les vastes Espaces encore libres, entre les castes, entre les cases
Toujours cruellement absorbé dans les vapeurs de la plus puissante des guedro Loin de l´herbe bon marché des rappeurs, je passe les douanes du marché (libé NP?) sous les couilles Les chiens de garde de ce milieu n´ont aucun flair, ça paraît fou
Je connais pas la dernière fois que j´ai songé à l´évasion Boîte craniène se vide jamais, comme les bars et les prisons Dans l´élan sempiternel, 50 projets et puis quoi ? Le game, c´est la fontaine : y´a que des rats et des pigeons Nique sa mère, je vis dans des règnes différents et dans l´élan Où on respire un air plus noble, comme les dieux et goélands Cohérent, dans chacun de mes décès je me replante Crée d´élégans écosystèmes, petits oasis que je revends
Chaque matin, le volet crache quelques lueurs ancestrales
Qui plongeront quand le café m´aura tiré d´un mauvais pas Ça sera toujours des heures offertes, je les accepte et tu sais quoi ? Personne n´encule la mort, elle a l´anus trop étroit Refuse cash et carte bancaire, la SACEM te protège pas Parmi tes milliers de followers, combien crèveront après toi ? Leur deuil fait vendre des disques, moi si ta voix n´a pas d´effet La violence et le pognon resteront le viagra des faibles