Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme
Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme
On a retrouvé mon corps, hier, flottant sur le fleuve, mensonges Si je pars le cœur sec, que l´orage compose la bande-son Les bouchons ont sauté, bonne année et surtout la santé Je rentre dans l´hiver, m´égare dans la barre de l´instant T
Le filet de sang séché le long de mes phalanges craquelées Forme le prénom silencieux qu´un soir j´ai cessé de rappeler Et cette pièce que je loue et dont les murs appareillés N´entendent rien de ces poèmes que j´ai vomi sur un parquet rayé Et comme je n´signe que des contrats précaires Le mouvement de mes mains ne sait mimer que l’embarras D´être un peu parmi vous, le reste du temps dans mes vers Et être père passionnément depuis qu´son petit cœur s´emballa J´ai trop peu voyagé, sûrement par peur de ne jamais revenir L´orgueil ravagé de comprendre qu´on n´sera qu´un souvenir
Branche nue tombée d´un arbre généalogique Peut-être un quatrain lu sous un halogène
Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme Cette putain d´brûlure là, sous mes côtes, c´est rien qu´une soudure d´âme
J´ai caché tout l´or que j´ai sous une ville en construction Dont la pancarte à l´entrée ne possède pas encore de nom Et les barreaux qui me séparent se jouent de moi et mon amour
Seigneur, dissimule une lime dans mon pain de ce jour J´ai caché tout l´or que j´ai sous une ville en construction Dont la pancarte à l´entrée ne possède pas encore de nom Et les barreaux qui me séparent se jouent de moi et mon amour Seigneur, dissimule une lime dans mon pain de ce jour
Le type que j´ai recraché là, sur le bitume de janvier M´a pointé du doigt la Lune avec un rire que j´ai envié Malgré la palette de calmants, il n´y a de cœur en paix Pour te connaître, faudra te rencontrer en vrai
Le type me sort quelques photos d´une cariatide Devenue cicatrice, vol raté sur un tarmac vide Quelques lettres écrites depuis une accalmie d’antan Pile entre le toit et le sous-sol d´un univers dantesque Les mots ne traduisent pas grand-chose La douleur déjà plus, frappe des poings des murs en prose Ça crée des rythmique écarlates, étonnamment enivrantes En vivant la chute, la symphonie de l´air devient vibrante Sur ce radeau que j´ai rallié J´ai appris que le Temps aussi peut devenir un allié Une seule question valable interrompt le régime du nombre
Qui éjacula, un soir de fête, dans l´origine du monde ?
J´ai caché tout l´or que j´ai sous une ville en construction Dont la pancarte à l´entrée ne possède pas encore de nom Et les barreaux qui me séparent se jouent de moi et mon amour Seigneur, dissimule une lime dans mon pain de ce jour J´ai caché tout l´or que j´ai sous une ville en construction Dont la pancarte à l´entrée ne possède pas encore de nom Et les barreaux qui me séparent se jouent de moi et mon amour Seigneur, dissimule une lime dans mon pain de ce jour
Cette putain d´brûlure là, cette putain d´brûlure là Cette putain d´brûlure là, cette putain d´brûlure là