C´putain d´soleil joue entre les branches de c´qui reste d´arbres C´putain d´soleil bout, aura la peau d´l´espèce, rend corps et âme Corvéable, cœur vénal, petit chorus d´chicorée à
Matériel boréal, mi Stendhal, mi Kore-eda Je jouis mon carré d´as, le tripot ferme à double tour Les p´tits matins se cachent, apportent des crépuscules dans leur pauvre foule Noble fou, prix Nobel, petit refrain de Reggie Noble Atterris sur rotules, à tes risques et ruptures Purée d´pois sur la métropole et purée d´quoi si je reste au sol Un curé d´droite que je serre au col, une cuvée d´roi que je règne au pôle Éteins l´gaz, change d´avis, putain d´crasse, mange la vie Croise aux Hébrides et serre les poings, l´angoisse se mérite et je perds des points Dans mon Monopoly, personne n´a d´hôtel à Foch, han
Les bars sont remplis d´hommes esseulés qu´ils appellent "pochtrons" J´évolue, sifflotant, et j´connais personne d´important Dans la marche comme l´estropié entre des cons bien portants Sorti des rangs depuis pas d´heure, provincial sixtyniner Bière bruxelloise dans un coin d´dinner, vole trop loin comme Walter Steiner Multiplie les angles ouverts, grizzli loin de Vancouver Cahier blanc de sang couvert, indécent et sans couvert Parle trop fort à leur table de bourge, postillonne mon art debout Dans leur cocktail glisse un quart de soude, métal précieux dans ma part de boue
Couché dans l´heure restante, naviguant sans sextant À travers la tempête de leur crédo en me délestant
Ces putains d´corbeaux crachent leurs interjections dans un chorus barge Au-dessus des grands ensembles, Kapla d´hommes et avenues larges Fond de Cappadonna, le Diable gagnait, tu pariais L´art nuageux des vents contraires, serein charge les barillets Athéna quitte ses bas résilles livré au vide, ivre et horrible Le capital bronze dans les îles, le peuple ronfle et prend des rides L´avenir n´en a aucun comme cachalot et triple X Le fond d´l´air est rouge artère, ça t´fait bander, je vis dans l´reste
Eux dans l´rêve d´un insomniaque, froid comme ravin insondable De notre folie sans sommet, mauvaises fortunes font bons comptables Eux dans l´rêve d´un insomniaque, froid comme ravin insondable De notre folie sans sommet, mauvaises fortunes font bons comptables
Eux dans l´rêve d´un insomniaque, froid comme ravin insondable De notre folie sans sommet, mauvaises fortunes font bons comptables Eux dans l´rêve d´un insomniaque, froid comme ravin insondable De notre folie sans sommet, mauvaises fortunes font bons comptables Eux dans l´rêve d´un insomniaque, froid comme ravin insondable
De notre folie sans sommet, mauvaises fortunes font bons comptables Eux dans l´rêve d´un insomniaque, froid comme ravin insondable De notre folie sans sommet, mauvaises fortunes font bons comptables