Ce matin, j´me fends la gueule, j´suis l´plus relax de c´coin d´espace File un fut´ et vends la taule, nouveau voyage et point d´escale Loin des squales, eau paisible, seins des femmes, Corésie
Poésie mineure d´ici qu´j´atteigne mon hérésie La leur est sans magie, rien d´la peur que l´temps agite Ils subissent l´hémorragie, pensent la réponse dans la gifle Les enculés sont les plus nombreux, pour ça qu´on perdra toujours J´voudrais faire avec panache, nique ces chiens au garde-à-vous
Tous réduits comme ´teille la nuit, tous prédisent le (terme ravi?) Chivas, rail dans Ferrari, future pousse dans terre aride Tous réduits comme ´teille la nuit, tous prédisent le (terme ravi?) Chivas, rail dans Ferrari, future pousse dans terre aride
Miraculeuse liqueur dévale ma gorge en flamme D´abord, je suis vigueur ; parfois, je suis pendable Tout équilibre s´étiole, l´idiot devient rentable Toutes ces kyrielles d´étoffes, contrôle que rien n´entame Sereinement, j´m´égare dans c´mode, mes vers forment des carences mortes Et holocauste sur cadence morne, voici nos transparences d´Homme Pendant c´temps, l´éternité n´a rien senti de nos espoirs Demeure bien trop occupé à effriter sa matière noire
Tous réduits comme ´teille la nuit, tous prédisent le (terme ravi?)
Chivas, rail dans Ferrari, future pousse dans terre aride Tous réduits comme ´teille la nuit, tous prédisent le (terme ravi?) Chivas, rail dans Ferrari, future pousse dans terre aride Tous réduits comme ´teille la nuit, tous prédisent le (terme ravi?) Chivas, rail dans Ferrari, future pousse dans terre aride