Zéro dose, pilule rouge, on connaît les chiffres comme les nécrologues Compas, grimoire, killu´ à vie, j´raconte l´Histoire comme Hérodote Ce monde n´est qu´un asile à ciel ouvert, j´contemple ces nazis avec leurs coups bas
Contre la matrice, les ai découverts, mais la masse n´est pas prête pour le coup fatal Conditionnée par les tendances, les médias, les conflits, les on-dit Les poncifs, les comptines, les tromperies, les conneries, la peur construite dès la plus tendre enfance Monde libre, j´vois la marque du Sheitan partout Dans l´œil du cyclone, on prend que des disquettes, des cartouches qui sonnent, j´me sens paro comme Gibson La vérité coûte cher, ferme les yeux en Gucci J´connais les coulisses depuis l´Irak, depuis Busch père, belek à tes organes si, ton toubib, c´est Kouchner Demain, c´est loin, mais je n´ai plus le temps d´attendre, je rêve de voir Grand embrasement et jour de gloire, construire leur monde, je n´en rêve plus
On est des milliers, des millions, à vouloir l´éclaircie, leurs milliards vont rien faire Dieu merci, c´est la même route avec grosses jantes vingt-cinq pouces sur le corbillard Élévation gaspillée, grave d´échéances brûlées ??? sacoche Génération sacrifiée par les écrans, j´suis c´vieux con qui radote
Fils de barbare dégueulasse au cul d´l´Europe qui s´protège des tentations d´l´antéchrist Et, vu l´nombre de fils de pute dehors, élever ses enfants dans l´amour, c´est pas leur rendre service Un-deux, un-deux, est-ce le bon canal ? Est-ce que mes propos sont condamnables ? J´fais l´effet d´un Tony Montana, pourtant, j´mets que des p´tits coups qui ne font pas mal
Crache pas sur Marianne si tu t´caches sous sa jupette Quand j´les vois pigner, dans ma te-tê´, j´écrie "youpi" comme un youyou qui dégaine la calculette J´fournis pas la colle pour l´étiquette, j´aime donner la migraine aux skinheads Le seul poster dans la chambre de mes fils, c´est un putain d´Tchétchène avec des mitaines Multiples traumatismes salutaires, libre comme mon prénom, c´est factuel J´suis bon qu´à rater l´coche et ça m´perturbe, mais j´reste fort comme le Hercule de poche Té-ma´ leurs gueules quand j´dis qu´j´vote as-p´, manif´ de pauvres, j´brandis l´portable Les mioches rêvent d´avoir l´empire d´Sosa, pourquoi pas Uber dans l´trafic d´organes ? Monde libre au bar, moi, j´trace ma route, j´absorbe comme Cell
Même Marc Dorcel plaint les p´tites Wejdene dans les chambres d´hôtel des Saoud´ Des grosses lopettes s´érigent en faux prophètes, des flics provoquent et touchent la COTOREP Pensent pouvoir nous gruger, mais y´a pas meilleur juge que l´chronomètre J´pose mes valises sur le parvis d´leurs pensées malsaines et leurs mœurs que leurs procès valident Leur centre névralgique a une encéphalite, on n´a pas l´même Dieu, leur symbole est phallique J´suis un Français pas libre, Lucio, OZ et Mani, fallait bien qu´les astres osent et s´alignent J´viens poser ma ligne, j´suis v´nu poser la lead sur leur propagande fausse et maline Quand leur liberté abolissent tes principes pour que tous se croient libres comme des Femen
J´suis pas choqué d´voir la police être ainsi, protéger c´qui nous guide vers les ténèbres Amour éphémère dans la dopamine qui nous contamine jusqu´à laisser faire Une année sévère annonce une famine, bientôt, l´fentanyl sera nécessaire Quand la raison s´enivre, ce monde devient chiant comme une prison sans livre, comme une maison sans Wi-Fi Des parents aliénés t´font des enfants livides qui changeront en crypto toutes leurs rentes en liquide Un trafic d´humains en leasing à l´usine, quand les egos se forgent un physique abusif La fin d´l´humanité, j´en vois les signes, j´hallucine, j´appelle ça "la liberté" si t´apprécies ma musique On mériterait des roses, on nous sort des flingues et, si on s´fait justice, ils vont porter plainte
Ils te parlent des Lumières, ils ont la torche éteinte, te plaquent au sol comme la BAC avec une forte étreinte On reste forts, n´aie crainte, la dure vie qui nous amène à éclairer ce que leurs troubles enfantent On a commencé seuls mais avec conviction et sincérité, au final, on se retrouve ensemble lors des mouvances
J´veux que d´l´amour mais ça peut coûter cher, pense au corps d´Hasni dans une ruelle d´Oran Néofascisme sur toutes les chaînes, nouveaux prolétaires noyés dans le torrent La bourgeoisie, c´est le vol ; mai 68, c´est le cachet de GHB Glissé dans l´verre du peuple, classé sans suite, c´est l´histoire que l´on s´est acheté
Publicitaires et intellectuels, le fruit du travail n´est que résiduel Vraie liberté derrière verrou sans clé, la subversion est bien subventionnée Détruire collectif pour chacun jouisse, bsahtek à Rothschild et Pompidou Les dos se pètent à cinq heures à Rungis, ils noient le poisson dans des conflits troubles Extorsion de la plus value, ils préfèrent ludique dans le boomeur L´impérialisme a remporté la lutte, nous a baisé fort comme accords de Blum-Byrnes Que des lardus, que des grands enfants, initier mondain loin des grands ensembles Ricane doucement dans des réseaux d´entente, agite des mots, c´est Macron qu´on enfante