Plus aucune évidence dans l´crâne, vos étiquettes me disent plus rien Le fruit se dévidant dans l´calme, au fond du siphon, mais putain Les royautés nettoient l´ardoise, j´connais les fantômes dans l´armoire
Y´a du silence et on l´prendra, tombe en vrille dans l´monde d´en-bas C´est génial : comme j´suis tout seul, dans mon plane, j´vis sans boussole J´vois autre part, j´fonce pas dans l´tas, domine mon terrain comme Drogba Rester loin du fond de l´ère, de l´image qu´ils ont de moi Vivement l´hiver en front de mer, ce mirage qui fait les rois Des fois, ils montent comme Dieux hindous, tout ça, c´est rien qu´mauvaises actu´ Tu peux l´acheter pour quelques sous, j´dors vachement bien quand j´ai pas d´vue J´me promène dans la ville, j´me promène dans la ville J´te promets pas l´avenir, j´te promets pas l´avenir
J´ai pas mon jeu d´tarot mental ; dans ma poche, un vieux mantra Que j´me répète depuis des lustres sous les néons d´une ville étrusque Lumière dedans l´estomac creux, bouffe la vie, bah ouais, ma gueule T´as la vago, moi, j´ai ma queue, l’enfonce loin dans ce rêve aqueux Nous, pour le faire, on a l´mental, aussi l´métal Aussitôt dit, aussitôt fait, envoie les tals On pète la dalle, californienne est la beuh Bah ouais, mon pote, faut les Nina, les Karembeu
Y´a que pour rouler que j´utilise le papier Gouapo, Lucio, dans Maisonnette, qui pouvait le parier ?
Ces falas, j´les mange comme panini, j´avale les paliers Tu veux nous voir dans ta ville, commande un show dans l´panier Sur Lyonzon, c´est nous la relève et ça tu peux pas l´nier J´fais quatre-vingt-quinze morceaux d´plus quand tu t´enjailles à Palavas J´sais pas pourquoi il fait l´cow-boy, c´fils de pute de policier J´suis là pour qu´on vive tous ensembles, non, Gouapo connaît pas la race J´te laisse pas fumer ton teh (chez moi), ça pue l´com´, c´est désagréable On aime vivre, on s´en fout des lois, j´t´aime, Nina, quand t´es malléable J´laisse pas mon frère au sol, comme dans Call Of, j´active la réa´
Comme Karim Benzema, j´partirai de Lyon que pour l´Réal
J´ai pas mon jeu d´tarot mental ; dans ma poche, un vieux mantra Que j´me répète depuis des lustres sous les néons d´une ville étrusque Lumière dedans l´estomac creux, bouffe la vie, bah ouais, ma gueule T´as la vago, moi, j´ai ma queue, l’enfonce loin dans ce rêve aqueux Nous, pour le faire, on a l´mental, aussi l´métal Aussitôt dit, aussitôt fait, envoie les tals On pète la dalle, californienne est la beuh Bah ouais, mon pote, faut les Nina, les Karembeu