J´zone dans des états d´âme d´occas´ en fin d´mois, reuf´ Sonné par les coups d´blues et compté jusqu´à neuf Toujours là comme le spectacle et le cancer
Le stress avant, et les couilles légères en fin d´concert Petit, c´est quand que tu pigeras l´arnaque ? Veulent rien défendre, juste emporter dix tibias par tacle Et la prime de match est la pire biatch De ce club de merde rempli de types minables Je n´suis qu´un fils d´hier qui brutalise demain Je vide une Pils, digère leurs vocalises serein Jamais dans la tendance ni dans leur direction Qu´elles soient bonnes ou non, je fabrique mes l´çons N´écoute plus personne depuis mon premier texte Les suiveurs viennent trop vite comme dans leur premier sexe On oubliera leur nom et le mien, ouais Mais j´aurais fait c´que j´voulais et plutôt bien, ouais
On oubliera leur nom et le mien, ouais Mais j´aurais fait c´que j´voulais et plutôt bien, ouais On oubliera leur nom et le mien, ouais Mais j´aurais fait c´que j´voulais et plutôt bien, ouais
Bien oué-j´, t´es dans la playlist Deezer, bâtard Ton label a payé comme pour les autres connards Tous les mêmes putains, on dirait des champs d´patates Aussi vrai qu´??? ont fait l´succès de Bambaataa À la tienne, à ta chute, à ton shit, à ta chatte Attaché à ton fric et à ton prochain clip Wesh, j´ai donné huit vies à cet art tentant
Donc j´vous encule tous, même les non consentants Rien d´singulier, vos ??? sont invariables Vos textes s´inter-échangent comme la malaria Vous n´souriez pas, à vingt piges, vous avez tout vécu Miskines, mangez des fibres et puis videz-vous l´cul Trois G.A.V., ils en font des doubles albums Deux mois d´bicrave, ils en font des interviews On oubliera leur nom et le mien, ouais Mais j´aurais fait c´que j´voulais et plutôt bien, ouais
On oubliera leur nom et le mien, ouais Mais j´aurais fait c´que j´voulais et plutôt bien, ouais On oubliera leur nom et le mien, ouais
Mais j´aurais fait c´que j´voulais et plutôt bien, ouais
Plein d´rêves qui, sur la route, refroidissent non-stop Finir étouffé par nos démons comme Bon Scott J´te passe les clichés faustiens et autres strophes Pendant qu´tu lèves les poings, je crée du lien, je suis l´apostrophe C´est qu´un jeu et j´me marre bien, en vrai La vie est courte mais il paraît qu´c´est pas la taille qui compte Et puis disons qu´le cœur lâchera en traître Avec cette certitude qu´en fait, c´est le lion qui dompte