💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales 🎤💃

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Artiste : Lucio Bukowski
Titre : Road Runner
J´ai leurré l´ombre, elle a pris ma lueur en horreur
Demeurez monstres sinon leurs sauveurs seraient chômeurs
Souteneurs en Hummer, que des pivots, pas d´meneur

Bonjour, c´est un honneur, faucheuse rapplique comme Road Runner
Trouve preneur sur Le Bon Coin, vend porte-bonheurs
Portes donnant sur le monde étrange d´un corps donneur
La vie rallume l´imprimante 3D
Retour à la poussière de carbone fadé
Tutoyer le ciel puis préférer la boue
Tutoyer la déesse puis préférer la goule
S´autodétruire puis oublier comme dans Memento
On vivra pas des siècles, comme l´art du Trecento
Chacun sa part, son poison, chacun sa fin d´soirée
À vos amours, à votre bon cœur dans ce monde plein d´tarés
Plus j´vieillis, plus mes rêves se pixellisent

Et plus j´me débats d´ici qu´le vide s´aiguise
J´irradie dans l´irascible, dis l´avenir pour dix radis
Vie ravie dans mer ravine, d´aucune branche je suis racine
Depuis ta mystérieuse cité, tu vis dans mirages d´or
J´préfère me noyer dans une spirale d´orge

On f´sait la guerre avant d´avoir des colonnes vertébrales
Depuis, on fait rien d´autre dans l´Eden carcéral
Voués à la division comme parthénogenèse
Mes idéaux s´épuisent, deviennent des œuvres de jeunesse
On f´sait la guerre avant d´avoir des colonnes vertébrales

Depuis, on fait rien d´autre dans l´Eden carcéral
Voués à la division comme parthénogenèse
Mes idéaux s´épuisent, deviennent des œuvres de jeunesse

Élevé dans l´vent contraire, frère, des néants dans mon glaire
Du sang d´géant sur mon glaive et pas d´gérant sur mon tertre
À part les gens dans mon cercle ; appâts gênants dans mon siècle
Abats ces chants dans mon giron, merde, et quelques [sillons s´perdent ?]
La vie ovule ; j´y volute, évolue évanescent
Vaine évasion en dix volumes
Y´a mieux, je sais, je m´en branle, c´est un fait
La résignation grimée en pouf tape l´incruste et gâche ta fête

Dégueule partout et s´réveillera sur un terrain vague
Pousse la porte de Cetelem pour une stèle en marbre
En vrai, on s´arme comme on peut, c´est étrange
Trente-cinq piges pour comprendre qu´on était morts, c´était temps
C´était quand qu´on imaginait changer les choses ?
Qu´on s´disait qu´on baisait l´monde et qu´on faisait les chauds ?
Ligne six-deux, six-neuf-huit-zéro-zéro
Vingt ans plus tard, j´ai mon empire comme Brian Eno

On f´sait la guerre avant d´avoir des colonnes vertébrales
Depuis, on fait rien d´autre dans l´Eden carcéral

Voués à la division comme parthénogenèse
Mes idéaux s´épuisent, deviennent des œuvres de jeunesse
On f´sait la guerre avant d´avoir des colonnes vertébrales
Depuis, on fait rien d´autre dans l´Eden carcéral
Voués à la division comme parthénogenèse
Mes idéaux s´épuisent, deviennent des œuvres de jeunesse

On f´sait la guerre avant d´avoir des colonnes vertébrales
Depuis, on fait rien d´autre dans l´Eden carcéral
Voués à la division comme parthénogenèse
Mes idéaux s´épuisent, deviennent des œuvres de jeunesse