Tout c´qui t´lie te sépare d´autres, tout c´qui brille ne pèse pas T´aurais vu c´qu´on était vraiment, tu saurais qu´on n´t´aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l´temps nous prend la vie L´identité se fragmente des zéro-un qui te résiste Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas Force aux silencieux, force aux running backs Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
Un peu plus sourd à chaque fois qu´j´entends parler d´arrivée On est loin de la côte et surtout pas prêt d´arrimer J´voulais descendre un peu parce qu´on étouffait sous les tours
On voulait chevaucher des lions, redessiner les alentours Tu peux garder les chiffres, on les remet là sous l´armure On fait d´la musique comme on respire en épousant les ratures À cent, à mille, on t´la refait, trace des feux dans ta rétine Au milieu d´la nuit, tu sens l´effet, l´heure avancera, paraît-il
Tout c´qui t´lie te sépare d´autres, tout c´qui brille ne pèse pas T´aurais vu c´qu´on était vraiment, tu saurais qu´on n´t´aime pas Même sans toi, ça réplique parce que l´temps nous prend la vie
L´identité se fragmente des zéro-un qui te résiste Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas Force aux silencieux, force aux running backs Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les) Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les) Tout c´qui brille ne pèse pas (tout c´qui brille ne pèse pas) Tout c´qui t´brille te sépare (tout c´qui brille te sépare, d´ailleurs)
Yo, déjà foutu depuis l´premier verre, déjà en marche depuis premier texte Outsider puisque possédé, l´or et le plomb dans mes procédés Rien à déclarer à la douane volante, flingue intérieur, j´ai la foi probante Même égaré sur voie dissonante, des rois violents créent des lois violentes Sans signature depuis jardin d´enfant, laisse pousser mes boutures sous des croisées d´ogives Jamais je n´cherche les mots, ça, vous me trouvez entre Guts et Cool J Eh, sous néon bleu d´un troquet désert, distillation de flux délétères Les projecteurs dans la gueule, j´perds de vue les gens ; fais pour les p´tites rues, pas l´avenue des Champs
Eh, province et vida loca, L-Y, seigneur local Eh, peau mince et vago d´occas´, ils s´font la guerre entre hyènes et crotales Eh, province et vida loca, L-Y, seigneur local Eh, peau mince et vago d´occas´, ils s´font la guerre entre hyènes et crotales Remplis des salles et des salles, bouffer des scènes et des scènes partout dans c´putain d´pays La grande machine reprend toujours le pas, toujours le pas (toujours le pas) Repars à zéro, c´est la seule issue, remonte le terrain, je me resitue Aucun laurier, j´ai mes attributs, jamais de glace dans ma cigüe
Tout c´qui t´lie te sépare d´autres, tout c´qui brille ne pèse pas
T´aurais vu c´qu´on était vraiment, tu saurais qu´on n´t´aime pas Même sans toi, ça réplique parce que l´temps nous prend la vie L´identité se fragmente des zéro-un qui te résiste Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas Force aux silencieux, force aux running backs Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat