Pas d´bataille, que des guerres perdues, des tas d´bâtards dans des glaires perclus Crachent leur merde comme j´éternue, têtes à l´envers #Superglue J´bois l´vin du monde dans un crane de singe, Mer Égéenne et sable fin
Baise les géhennes de vos sales refrains, monte au repos sur un tas de rien J´m´y fais sans gamberge comme vie d´usine, tout se répète comme cri d´Uzi En promotion chez Prix Unique, commotion, jet tellurique Pénurie des grives d´âme, champs d´aérosols sur le périph´ tard Pénurie des grives d´âme, champs d´aérosols sur le périph´ tard
Quel enculé, ce type
Attendre le soleil, que la couleur vive ; attendre le sommeil, que la douleur suive Accords mineurs pour satire sociale dans l´blanc d´l´œil des Matisse d´occas´ Tout baigne dans l´jus, comme Bon Scott ; j´vis dans l´ventre du monstre, comme job
Ouais, ouais, Scirocco, ouais, ouais, Pinocchio Y´a des colonies dans l´crane des gamins, des liasses d´euros, du rap dans l´ravin L´oracle lit l´avenir mescalin, s´enfile de la poudre noire dans l´tarin Jus d´époque dans les couilles gonflées de l´histoire des forts, poumons défoncés Courons dès maintenant vers les douilles qu´on sait : le compte de Jay, le boule à Beyoncé J´ai l´endurance de Poulidor ; les chats dirigent quand souris dorment De l´or, du vin, des jolis corps, de Babylone à Benidorm J´ai l´endurance de Poulidor ; les chats dirigent quand souris dorment De l´or, du vin, des jolis corps, de Babylone à Benidorm Bénis des Dieux aux poches trouées, festins nus, destins flous
Tenter d´atteindre la plus proche bouée, destins nus, festins flous La télé braille sa logorrhée : des flics, des morts et du champagne La télé braille sa logorrhée : des flics, des morts et du champagne
Ils vendent l´ignorance à prix d´amis ; le pouvoir, c´est leur chrysalide Salaire mensuel dans dix valises ; quand tu tombes, dis-moi, qui valide ? Cachots remplis d´avenirs amputés ; signe d´une croix, c´est loin la Judée Chacun la sienne, fais-en d´l´art ; vends au détail, je n´plaisante pas Cette drogue éveille en moi des brasiers ; mon climat change : fonte des glaciers Ma génération n´est qu´une baise bâclée ; nique les chacals de vos chaînes câblées
Vautours métalliques au-d´ssus d´la ville guettent les macchabées Autour des cous gras si les doigts puissants resserrent le macramé Chacun sait mais chacun s´tait ; Neandertal, Namasté Même le mal est harassé, chaque utopie se fait tabasser Se fait ramasser par brigades de nuit : G.A.V., placard humide Grosse balafre le long du bide, tous en sursis dans c´coin turpide J´ai l´endurance de Poulidor ; les chats dirigent quand souris dorment De l´or, du vin, des jolis corps, de Babylone à Benidorm J´ai l´endurance de Poulidor ; les chats dirigent quand souris dorment
De l´or, du vin, des jolis corps, de Babylone à Benidorm