J´allais aux quatre vents des rues De ma grand-ville Pleurant les bonheurs disparus Les joies fragiles Un jour, toi, tu m´es apparue
Simple et tranquille Tes mains ont montré le chemin Que je cherchais Et tu disais si bien Les mots que j´attendais
Merci d´avoir sauvé ma vie D´une prison d´oubli, merci Merci d´avoir chassé la peur De mes nuits sans lueurs
Merci, j´étais comme un aveugle Qui va, les yeux perdus Vers un monde inconnu de lui Mon cœur qui n´avait plus d´espoir Toi, tu l´as réchauffé, ce soir
Merci d´avoir donné le jour
À notre grand amour, merci Plus rien ne compte désormais Je ne te quitterai jamais
Je suis comme le lierre Je m´attache à ton sort Je te suivrai jusqu´à la mort Tu peux faire de moi Tout ce que tu voudras Je t´aime
Je suis comme le lierre Je m´attache à ton sort Je te suivrai jusqu´à la mort Tu peux faire de moi Tout ce que tu voudras Je t´aime