[Kpri] J´passe au tutu prendre la gamelle gamelle J’passe au tabac j´prends mon Camel Camel
J´suis avec Saturn fume la zamal zamal T’as ouvert ta bouche maintenant t´as mal t´as mal Ici y´a des bib´s et du doré à vendre J´pine plus d´go de mon âge dorénavant Ils collent sur nous ouais c´est bien c’qui m’semble Fais glisser l´808, janvier à décembre J’affiche des dos dans ma story, y´en qui comptent que sur l´mastering Plus tard j´veux faire des concerts, nan j’veux pas faire d´intérim Dans l´son y´a pas qu´les rimes, j´te l´explique clairement Ici c´est Lyon ça pète, nan c´est pas Clermont
[Jolly]
[Ashe] Ferme-la, roule un méga, prend garde si tu touches à un d´mes gars T´compare pas à nous c´est pas égal, à t´écouter tu sens pas les balles Gars tu me dégoûtes, c´est quoi les bails ? T´es au poste dis leur qu´tu m´connais pas J´suis dans la forêt j´efface mes pas, ouais, j´répond pas quand c´est des [?] qui parlent J´m´allume le méga quand les bleus partent, tous tes potos ils méritent deux tartes J´vais conserver des bails dans ton appart´, et j´mettrais du poison dans ta part Maintenant tu peux m´appeler papa, y´a que chez toi qu´la tension est palpable J´sais qu´ils parlent de nous quand ils sont à table, à chaque fin d´stock mes gars montent à ´dam, woah woah
[Jolly]
[Vitolo] Le monde est rigide d´façon binaire, suffit pas d´poser l´pied dessus pour être lunaire On est dans un couloir c´est dur d´voir la lumière, ressens la barre que je tire jusqu´aux molaires Le monde est régi par des [?] crypt-oseille, quand t´avances c´est triste, mais tu laisses [?] J´arrive comme un train dans la gare il veut m´faire déraill´, normal vu qu´il m´voit taper dans la graille Parle pas de c´que tu connais qu´en reportage de c´que tu vois de ta fenêtre mais pas de tes yeux Venez pas nous test si c´est pour du bavardage, ils comprennent pas pourquoi j´fais que guetter les cieux
Y´a mon Lyonzon au dessus, y´a le tout-puissant, des trucs faits en 24 heures J´ai trop chabé Jack Bauer, ils veulent le truc mais n´en connaissent pas la teneur hey