« Dis-moi "Je t´aime" » Ho la revoilà, eh.. rolalala. « Dis-moi "Je t´aime" » Mais ouais, ouais.. tu l´sais. « Aller.. »
Quoi ?! « Aller... » J´vais pas t´dire ça.. Lâche-moi ! « Dis-moi, que tu m´aimes.. » ..lâche-moi, qu´est-ce que j´.. « Dis-moi.. que tu m´aimes » Rolalah, les meufs ! Bon, laisse-moi tranquille S´te plait
J´ai tout vécu avec toi, dans la prise de tête. J´ai tapé l´art du combat et évité l´assiette. J´ai subi aussi le pire du protagoniste. Sans oublier les conversations terribles de féministes. Le dimanche, le gigot, chez les beaux-parents,
Ensuite la part du gâteau, rester correct et souriant. Dire des conneries, en évitant de parler d´politique. Voilà ce qui se passait le dimanche, J´aurais tant voulu craquer ton slip ! Enlever cette nappe et t´allonger sur la table... Tourner la photo du Pape, te faire l´amour comme sur le câble. T´envoyer en l´air, enfin te mettre en orbite. Avec l´art et la manière des descendants guerriers celtiques. Je n´ai pas pu le faire, j´ai continué à souffir. Même si c´n´était qu´éphémère dans la tête, juste pour rire. Tu n´as pas compris, non ! Tu n´as pas saisi et pourtant
Si seulement tu connaissais vraiment la taille de mes sentiments...
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.
Je ne veux plus de soucis..
C´est vrai qu´pour la suite, c´est sûr, J´ai eu des problèmes, j´connaissais mal le tandem,
J´avais du mal à dire « je t´aime ». Toujours bloqué devant la télé, le foot comme un boeuf, En train d´kiffer les magazines, Aussi les jambes de Karembeu. Mais moi, comment j´aurais pu ? T´entendre et t´écouter ? Entre les malentendus, tordus de notre réalité. Comme certains propos qu´tu m´balançais devant des bons matchs. Qui m´donnaient beaucoup trop l´envie De te mettre un bon coup de hache ! Voilà c´qui s´est passé et pourtant j´me la jouais fine. J´ai même essayé de goûter plusieurs fois ta cuisine, mais Madame n´a rien vu et comme de bien entendu
Elle était sûrement trop occupée à juger d´sa vertu.
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.
Ne veux plus de soucis, non... Ne veux plus de soucis, c´est le choix de ma vie..
Après tout ce qu´on s´est dit, ce qu´on a vécu ensemble,
Il m´arrive de penser que quelque part on se ressemble. On essaie d´être "In", comme tous ces gens dans la rue. Mais moi j´ai la taille fine, par contre toi t´as un grand ... Évidemment, on continue, on fait semblant. Ces histoires de sentiments ne sont pas pour nous, je le sens ! Ça va, ça vient, ça fait comme une danse antillaise, Comme un morceau de boudin qu´on aurait trempé dans la mayonnaise ! C´est bon ma puce, c´était juste pour rigoler... Une vanne de plus, c´est pour m´aider à n´pas pleurer ! J´voulais quand même te dire, ma poupée, avant de partir
Mhhh... N´oublie pas de maigrir !
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.
Non ! Je n´t´en veux pas, tu sais ! Je pense à toi et ne t´oublie pas, tu sais. J´ai fait mon choix, j´ai décidé de ma vie. Je reste seul, je ne veux plus de soucis.