Raconte-lui comme Sylvie, Qui seule gouverne mon sort, A reçu le coup de la mort Au plus bel âge de la vie, Et que cet accident triomphe en même jour De toutes les forces d´Amour.
Las ! je n´en puis dire autre chose, Mes soupirs tranchent mon discours. Adieu, ruisseau, reprends ton cours Qui, non plus que moi, se repose ; Que si, par mes regrets, j´ai bien pu t´arrêter, Voici des pleurs pour te hâter.