Moi je n´étais rien Et voilà qu´aujourd´hui Je suis le gardien Du sommeil de ses nuits Je l´aime à mourir
Vous pouvez détruire Tout ce qu´il vous plaira Elle n´aura qu´à ouvrir L´espace de ses bras Pour tout reconstruire Pour tout reconstruire Je l´aime à mourir
Elle a gommé les chiffres Des horloges du quartier Elle a fait de ma vie Des cocottes en papier Des éclats de rire Elle a bâti des ponts Entre nous et le ciel Et nous les traversons À chaque fois qu´elle Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir Je l´aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres Pour être si forte aujourd´hui Elle a dû faire toutes les guerres De la vie, et l´amour aussi Elle vit de son mieux Son rêve d´opaline Elle danse au milieu Des forêts qu´elle dessine Je l´aime à mourir
Elle porte des rubans Qu´elle laisse s´envoler Elle me chante souvent Que j´ai tort d´essayer De les retenir
De les retenir Je l´aime à mourir Pour monter dans sa grotte Cachée sous les toits Je dois clouer des notes À mes sabots de bois Je l´aime à mourir
Je dois juste m´asseoir Je ne dois pas parler Je ne dois rien vouloir Je dois juste essayer De lui appartenir De lui appartenir Je l´aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres Pour être si forte aujourd´hui
Elle a dû faire toutes les guerres De la vie, et l´amour aussi Moi je n´étais rien Et voilà qu´aujourd´hui Je suis le gardien Du sommeil de ses nuits Je l´aime à mourir
Vous pouvez détruire Tout ce qu´il vous plaira Elle n´aura qu´à ouvrir L´espace de ses bras Pour tout reconstruire Pour tout reconstruire Je l´aime à mourir
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par Francis Cabrel