Sur les dunes blanches, je dérive, je fais des rêves entre tes hanches Sur les dunes blanches, je vois tes seins, je les dessine, je me déhanche
Il suffit d´y croire et l´on peut s´y voir, si tu savais comme je flanche Sur les dunes blanches, le lundi je m´allonge jusqu´au dimanche
Sur les dunes blanches, la lumière passe, entre nos bras comme dans des branches
Il suffit d´y croire et l´on peut s´y voir, si tu savais comme je flanche Il suffit d´y croire et l´on peut s´y voir, ma vie fait la planche
Sur les dunes blanches, je divague, les ombres dansent, les arbres penchent Sur les dunes blanches, on a soif, on se boit et on s´étanche, on s´étanche
Sur les dunes blanches, pas de regret, pas de remords et sans revanche Il suffit d´y croire et l´on peut s´y voir, si tu savais comme je flanche
Sur les dunes blanches, je m´envole sur ta peau folle puis je m´épanche Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche
Il suffit d´y croire et l´on peut s´y voir, si tu savais comme je flanche Il suffit d´y croire et l´on peut s´y voir, ma vie fait la planche
Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche Sur les dunes blanches, on se couche, on se cache, on s´avalanche
Sur les dunes blanches, entre sable et ciel, c´est l´amour qui tranche Sur les dunes blanches, on se touche tant qu´on s´attache, on se déclenche