À l’heure où le jour s’éteint Refermant ses deux mains Sur la ville Alors je me sens si seule
Je ne veux plus rêver à ces matin Où l’amour et toi ne faisiez qu’un Jusqu’à quand Faut-il rêver les matins d’antan?
À l’heure où la nuit greffée de néons Vient m’aveugler de noms Alors, je me sens si seule Je ne veux pas pleurer Sur des étoiles que la ville Et les néons me voilent
Mais jusqu’à quand Faut-il pleurer les matins d’antan?
À l’heure où l’aube va naître Où le jour va paraître Si gris, alors je me sens si seule
Je ferme très fort les yeux J’apprends à prier dieu sait qui Peut être Dieu
Mais jusqu’à quand Faut-il prier les matins d’antan? Jusqu’à quand Faut-il crier à mes matins d’antan?