Et leurs fantĂŽmes bien avant eux marchaient pieds nus, pieds nus
Los olvidados BrĂ»lent de fiĂšvre mĂȘme quand il pleut Los olvidados Ne jouent quâĂ des jeux dangereux Ils ont la rage au fond du cĆur, au bout des mains Ils nâont plus dâĂąge, leur nuit nâa pas de lendemain
Los olvidados (Los olvidados) Petit mendiant de grand chemin Los olvidados (Los olvidados) Tendent les bras mais pas la main
Los olvidados (Los olvidados) Nâont pour ami que le soleil Ils vous regardent Plus fiers que ne peut lâĂȘtre un roi Mais sous leurs hardes Ils ont un cĆur gros comme ça, gros comme ça
Los olvidados (Los olvidados) Ont des printemps de fin dÂŽautomne Los olvidados (Los olvidados) Ce sont les enfants de personne Los olvidados (Los olvidados) Entre les vagues dÂŽun terrain Los olvidados