Princesse! à jalouser le destin d´une Hébé Qui point sur cette tasse au baiser de vos lèvres; J´use mes feux mais n´ai rang discret que d´abbé Et ne figurerai même nu sur le Sèvres
Comme je ne suis pas ton bichon embarbé Ni la pastille ni du rouge, ni jeux mièvres Et que sur moi je sens ton regard clos tombé Blonde dont les coiffeurs divins sont des orfèvres!
Nommez-nous... toi de qui tant de ris framboisés Se joignent en troupeau d´agneaux apprivoisés Chez tous broutant les voeux et bêlant aux délires
Nommez-nous... pour qu´Amour ailé d´un éventail M´y peigne flûte aux doigts endormant ce bercail Princesse, nommez-nous berger de vos sourires