Sourire est ardent Ca tire, semblerait-il fier de retrouver ses terres Désarmé Qu’on m’efface les maux d’hier, l’écrit du cœur, les cris des carnets
Toutes les peines à voir, à vivre Peine à raconter Que je n’revienne pas (Désert, désert, emporte avec toi) (Désert, désert, tant pis si j´ai froid)
Désert, désert, emporte avec toi Le poids d’hier, le son de ma voix Désert, désert, tant pis si j’ai froid Même en hiver, désert, ne reviens pas Désert, désert, garde auprès de toi Les heures, les heures de doutes et d’effroi Désert, désert, pourquoi tu m’aimes à ce point là Vas prendre l’air, désert ne reviens pas
Désert, désert, pourquoi tu t’enfonces à chaque fois
Moi qui rêve de plages, d’îles et d’elle, t’es trop sournois Désert désert et si tu n’me connaissais pas Je n’suis qu’un prince en colère, je me fous d’être ton roi Pour d’autres ce serait le bout du monde Mais je te respire au creux de moi J’ai beau soulever des vents de fronde Rien ne m’inspire autant que toi Désert
Désert, désert, emporte avec toi Le poids d’hier, le son de ma voix Désert, désert, tant pis si j’ai froid Même en hiver, désert, ne reviens pas Désert, désert, garde auprès de toi Les heures, les heures de doutes et d’effroi Désert, désert, pourquoi tu m’aimes à ce point là
Vas prendre l’air, désert ne reviens pas
Allez, allez ce s’ra bientôt la fin, bientôt la fin, bientôt la fin Allez, allez ce s’ra bientôt la fin, bientôt la fin, bientôt la fin Allez, allez ce s’ra bientôt la fin, bientôt la fin, bientôt la fin