Je sais que depuis chez toi, on ne dit rien, car c’est la fin J’ai beau te pointer du doigt, tu n’en fais rien, mais je conçois J’ai tort mais je m’en veux, à petit feu, et c’est comme ça
On maquille nos adieux car on les veut plus beaux On renie nos aveux, tout est vrai pour de faux On invente une vie dans l’après, aussitôt Et on court à tout va dans le pré des corbeaux
Qui s’envolent
Tant pis si je t’aime encore Tant pis si je t’aime Tu t’envoles Tant pis si je t’aime encore Tant pis je t’aime Tant pis si je t’aime encore Tant pis si je t’aime encore Tant pis si je t’aime Tant pis si je t’aime encore
Je sais que tous mes passages, tu les connais, c’est tes voyages Réponds à mes messages, de là où t’es, même si ça capte pas
Je te sens dans le vent, dans le flou des brouillards Ton absence se fond dans le froid de ce soir Et tu manques à mes sens qui ne croient sans le voir Et tu voles à tout va sur un fond de guitare
Tu t’envoles
Tant pis si je t’aime encore Tant pis si je t’aime Tu t’envoles Tant pis si je t’aime encore
Tant pis je t’aime Tant pis si je t’aime encore Tant pis si je t’aime encore Tant pis si je t’aime Tant pis si je t’aime encore