J´ai vu descendre l´ange plus jamais vous ne m´éteindrez c´est sûr je l´ai senti comme je te vois il est venu libérer mes poignets À ceux qu´cela dérange nous briserons vos murs,
il m´a parlé comme je te parle il est descendu pour me soigner, j´réponds à l´appel de l´aveugle, nos âmes et nos pouvoirs sont indissociables comme l´abeille et la fleur comme l´assurance et la peur, l´angoisse la plénitude le froid la canicule, spirituels sont nos labeurs il est venu sous forme de femme y´avait qu´a d´mander puis j´ai entendu son coeur, compris que le temps n´était qu´un battement d´ailes l´amour pur que l´on a arpenté est un ascenseur céleste d´une force sainte comme celle d´un Black Panther ici bas beaucoup de blessures et peu d´soin dorénavant je ferme les yeux pour rejoindre l´espace
tant que l´humain vivra la beauté comme un besoin, il s´empêchera lui même de reconnaitre l´extase elle a marché auprès d´moi , inconsciente de sa belle voix fait disparaitre le brouillard que la peine voile, elle a marché auprès d´moi oui, inconsciente de sa belle voix hein, elle m´a touché en pleine foi, la fleur de nos désirs n´en est pas l´fruit, hier j´ai entendu le chant d´une flamme libre elle me racontait que l´univers n´a pas de prix, qu´il suffisait de savoir pour ressentir que nos âmes vibrent nos missions sont d´réveiller autant de clones que possible car matérielles sont nos prisons
j´ai vu ses rires puis ses sanglot, l´amour que je peaufine, est spirituel mais physiques sont mes frissons et si mes poils se dressent, c´est que son regard me percute, j´admire tout ce qui me blesse depuis que je ne perds plus son âme est divine son esprit laisse passer les fréquences éternelles qui perdurent nous sommes des messagers qui perturbent . ne sens tu pas que les nuages ne cessent de s´épaissir la vérité, de l´eau bouillante sur une tigresse verser des larmes n´est que pleurer ce qui fut un plaisir, j´ai retrouvé la joie en fouillant dans la tristesse tout c´que j´ai ne m´appartient pas, je ne possède rien
ni mon toit ni toi ni mon corps elle m´a ouvert à l´absolu, elle le détient entre ses mains repartie comme elle est venu, en faisant de ma plage un port et peu importe je l´ai compris, l´infini m´a appelé notre monde s´assombrit donc la lumière m´a happé perdu le mal est complice donc l´infini m´a rappelé m´a dit c´qu´il faut que j´accomplisse bientôt les anges vont frapper bientôt le ciel sera orange, les montagnes nous allons gravir magie noire contre blanche, nucléaire contre navires à toutes ces âmes que l´on débranche, ces corps ultra vides
des cendres renaîtra la branche oui, puisque tout gravite .
Je t´ai lu comme un grimoire.. je t´ai lu comme un grimoire je t´ai lu comme un grimoire, nos yeux des trous noirs tu es mon éternel ange de bord et si un jour je n´te trouve plus dans le miroir je te rejoindrais dans l´angle mort.