Aux premières lueurs du printemps Quand l´odeur des lilas et du linge étendu au dehors Embaume les jardins Au cœur des parfums de l´enfance
Je reviens me poser Et laisser de l´âme où rien ne meurt renaître le passé
Encore un peu de douceur Le ciel s´illumine Éclaboussant tout de ma douleur
Encore un peu de douceur Pour me laisser vieillir Et accepter le vide qui m´emplit le cœur
Je revois dans ses yeux L´amour la tendresse éternelle Dans le souffle du vent alentour je retrouve sa voix Je revois ces soirs d´été et d´ivresse ces éclats de rire
Qui de nos deux âmes Faisaient naître le même soupir... souvenir...
Encore un peu de douceur Le ciel s´illumine Éclaboussant tout de ma douleur
Encore un peu de douceur Pour me laisser vieillir Et accepter le vide qui m´emplit le cœur
Comme une pause à la marge du temps Une escale dans le calme à l´abri du courant
Encore un peu de douceur Pour me laisser vieillir Et accepter le vide qui m´emplit le cœur
Encore un peu de douceur Pour me laisser vieillir Et accepter le vide qui m´emplit le cœur