Élise : Regarde-moi, mon garçon. Quand tu reviendras, je ne sais pas si je serai encore de ce monde.
Guy : Mais enfin, Élise !
Élise : Il n’y a pas de « mais ». J’ai bien vécu, tu sais. Je peux quitter ce monde sans regrets.
Guy : Tu déraisonnes ! N’est-ce pas, Madeleine ?
Madeleine : Bien sûr ! Elle va déjà mieux.
Guy : Je rencontrerai la mort avant toi !
Élise :
Le régiment n’est pas la guerre. Avant de partir, je veux que tu saches que tout ce que j’ai t’appartiendra. Surtout, ne m’oublie pas ! Écris-moi de temps en temps. Madeleine te donneras de mes nouvelles. Adieu, mon petit.