Le pouvoir n’est pas une mince affaire Et la route est si longue À la boussole, en marche arrière Tu te perds, et puis L’aventure n’a pas de ministère
Une valse à plein temps, se danserait-elle de travers au soleil ? Oui mais…
Là, je te revois, François sous la pluie Sous le ciel gris de Paris Las, tu restais las, tu disais « merci » Même si pour toi c’était mal parti
La critique n’a pas de revolver Mais ses yeux te fusillent au moindre bruit de courant d’air C’est cruel et puis Elle se prend pour le front populaire cette foule infidèle Qui veut te fourguer sa colère, c’est normal. Oui mais…
Moi, je te revois, François sous la pluie Est-ce que tu pleures sur Paris ? Seul, avec effroi, et sans parapluie Les yeux blanchis par l’envie d’en rester là
Là, je te revois, François sous la pluie Sous le ciel gris de Paris Las, tu restais las, tu disais « merci » Même si pour toi c’était mal parti
Moi, je te revois, François sous la pluie Est-ce que tu pleures pour ton pays ? Seul, dans le vent froid et sans parapluie Les yeux blanchis par l’envie D’en rester là