On était beaux c´était hier Bercés par les hélicoptères Un peu de sable dans tes cheveux L´azure s´embrase parmi les feux Plus rien ne naissait sur nos terres
Le ciel rempli d´hélicoptères Au printemps, rien d´amer et creux Quand on se prenait pour des dieux
Ta main qui dessinait en l´air Un paradis derrière la mer Un désert où tournait le son Loin de l´écho des oraisons
Ta main qui dessinait en l´air Un paradis derrière la mer Un désert où tournait le son Loin de l´écho des oraisons
Au milieu des briques de poussières Détruites par les hélicoptères Paysage, décor paresseux Parlent nos corps aimants curieux
Brandissant les feux délétères Contre tous ces hélicoptères Résidents d´une pierre militaire D´amour s´en va tout foutre en l´air
Ta main qui dessinait en l´air Un paradis derrière la mer Un désert où tournait le son Loin de l´écho des oraisons
Ta main qui dessinait en l´air Un paradis derrière la mer Un désert où tournait le son Loin de l´écho des oraisons
Ta main qui dessinait en l´air Un paradis derrière la mer Un désert où tournait le son
Loin de l´écho des oraisons
Ta main qui dessinait en l´air Un paradis derrière la mer Un désert où tournait le son Loin de l´écho des oraisons
Nos coeurs s´écrasaient aux frontières Conquises par les hélicoptères Au souvenir des nuits solaires Brisées par les hélicoptères.