Dehors, c´est les ténèbres, trop de mauvais, trop de sournois, même en détresse On tré-mon jamais nos peurs, non, tout pour le bénéf´, on veut la SACEM à Burna Les galères, la démerde, non, cette vie n´est pas pour moi
Mes reufs, c´est mes antidépresseurs, j´les sentais là même quand j´étais seul Plus jamais rapper pour des pièces, j´aime trop quand la sse-lia est épaisse J´mets tout ce que j´ai dans mes vеrses, j´me sens si miеux quand j´dois rien à personne Ils voient seulement ce qui brille mais pas tout le sang, la sueur qu´on verse
Face au miroir, tout c´que j´y vois : mon reflet, mes reufs dans ma tour d´ivoire Tout l´temps là-bas, tout l´temps jetlag, c´que j´veux, c´est rattraper tout l´temps que j´ai pas
Elle voulait pas que j´la quitte mais le cœur est froid comme un Beretta 250 dans la gov´, c´que j´ai consommé n´est pas très légal
International shit, nos sons tournent de Paname au Sénégal En PayPal, en chèque ou liquide, pas de préférence tant qu´on fait des tales (Yeah, yeah) T´étais où quand on était si loin, quand on était derrière ? Enfermés dans la cabine jusqu´à six du mat´ les jours fériés Chaque matin quand on se lève, c´est que pour enfoncer des barrières À bosser dans l´ombre en silence jusqu´à c´que les temps changent
Appel en masqué très tard dans la nuit, j´suis sûr que c´est toi Si j´dois compter les vrais membres de la mif´, c´est sur mes doigts J´ai dû faire un choix entre l´amour et l´avenir, c´est dur
Mais j´dois partir avec les erreurs que j´ai pu faire, j´suis sûr de moi Tu sais, même en étant quelqu´un, par les doutes, j´suis habité J´avance avec les phares éteints, dans les flots, j´dois naviguer T´étais où toi quand j´étais pas dans les soirées invité ? J´suis monté vite et j´ai perdu mon centre de gravité C´est fini, l´oseille, j´le fais pour moi, c´est fini, maintenant, j´y vais tout droit J´dois terminer premier du tournoi, avant que la mort m´attrape au tournant Faut qu´j´écrive l´histoire mais il y a trop de page, tout n´se modifie pas au montage Les soucis s´empilent donc on prend le large, face au miroir, j´vois qu´on prend de l´âge
Face au miroir, tout c´que j´y vois : mon reflet, mes reufs dans ma tour d´ivoire Tout l´temps là-bas, tout l´temps jetlag, c´que j´veux, c´est rattraper tout l´temps que j´ai pas
Elle voulait pas que j´la quitte mais le cœur est froid comme un Beretta 250 dans la gov´, c´que j´ai consommé n´est pas très légal International shit, nos sons tournent de Paname au Sénégal En PayPal, en chèque ou liquide, pas de préférence tant qu´on fait des tales (Yeah, yeah) T´étais où quand on était si loin, quand on était derrière ? Enfermés dans la cabine jusqu´à six du mat´ les jours fériés
Chaque matin quand on se lève, c´est que pour enfoncer des barrières À bosser dans l´ombre en silence jusqu´à c´que les temps changent