Mon pauvre amour d´été à vendre Toi qui t’enfuiras en septembre Toi qui fais des boites de nuit Le pauvre piège de ta vie Dans les hôtels de guerre où passe
La fin de ma jeunesse se lasse Dans les casinos abolis Où je m´en vais perdre ma vie : Ton nom résonne De la splendeur de Rome Procol Harum Au-delà des choses humaines Où ton nom, tout seul se promène Le chien salé des boulevards Vient aboyer dans ma mémoire Au fond des mers fraternelles, Où les marins veulent deux pucelles, Au bout des océans massards Où ils n´auront que des guitares