Ah! vous dirais-je maman, Ce qui cause mon tourment, Depuis que j´ai vu Wolfgang Me regarder d´un air tendre, Mon coeur dit à chaque instants,
Peut-on vivre sans amant ?
Il rougit et par malheur, Un soupir trahit son coeur. La cruelle avec adresse, profite de sa faiblesse, Hélas, maman! Un faux pas Le fait tomber dans ses bras.