Il est des heures, où Les ombres se dissipent La douleur se fige
Il est des heures, où Quand l´être s ´ invincible La lèpre s´incline Mais Si j´avais pu voir qu´un jour Je serai qui tu hantes Qu´il me faudrait là, ton souffle. Pour vaincre l´incertitude Ecrouer ma solitude
Il est des heures, où Les notes se détachent Les larmes s´effacent Il est des heures, où Quand la lune est si pâle L´être se monacale Mais Je erre comme une lumière
Que le vent à éteinte Mes nuits n´ont plus de paupières Pour soulager une à une, Mes peurs de n´être plus qu´une.
Je n´ai pas le temps de vivre Quand s´enfuit mon équilibre Je n´ai pas le temps de vivre Aime-moi, entre en moi Dis-moi les mots qui rendent ivres Dis-moi que la nuit se déguise Tu vois, je suis Comme la mer qui se retire, de N´avoir pas su trouver tes pas
Il est des heures où Mes pensées sont si faibles
Un marbre sans veines Il est des heures où L´on est plus de ce monde L´ombre de son ombre Dis De quelle clef ai-je besoin Pour rencontrer ton astre Il me faudrait la, ta main, Pour étreindre une à une Mes peurs de n´être plus qu´une...
Je n´ai pas le temps de vivre Quand s´enfuit mon équilibre Je n´ai pas le temps de vivre Aime-moi, entre en moi Dis-moi les mots qui rendent ivres Dis-moi que la nuit se déguise Tu vois, je suis
Comme la mer qui se retire, de N´avoir pas su trouver tes pas
Je n´ai pas le temps de vivre Quand s´enfuit mon équilibre Je n´ai pas le temps de vivre Aime-moi, entre en moi Dis-moi les mots qui rendent ivres Dis-moi que la nuit se déguise Tu vois, je suis Comme la mer qui se retire, de N´avoir pas su trouver tes pas