La capitale me fait du mal Elle s´amuse à me voir souffrir Elle m´emprisonne, puis m´empoisonne Me joue des tours pour qu´j´ai je spleen Privée d´horizon, je perds la raison
Et tous les rêves qui me guidaient, Et c´est de la peine qui coule dans mes veines Qui met en scène tous les regrets
J´envoie des bons baisers de Paris Des jours fanés des nuits d´insomnies Des maux, des bons baisers de Paris Du manque d´air sur papiers jaunis Des ballons éclatés par des griffes acérées Du peu d´Amour du peu d´Amour J´envoie du goût amer un désert sans mystère Et peu d´Amour si peu d´Amour
J´ai peur des clones Du train fantôme De leur regard de condamnés Et où que j´aille quand je déraille Je me sens toujours comme surveillée
Douze mois d´hiver, un ciel sans lumière Et plus d´étoile pour m´épauler Où se cache la vie qu´on m´avait promise Vers quel chemin se diriger
J´envoie des bons baisers de Paris Des jours fanés des nuits d´insomnies Des maux, des bons baisers de Paris Du manque d´air sur papiers jaunis Des ballons éclatés par des griffes acérées Du peu d´Amour du peu d´Amour J´envoie du goût amer un désert sans mystère Et peu d´Amour si peu d´Amour
Ah, ah, ah, ah, (bis) La capitale me fait du mal Ah, ah, ah, ah, (bis) La capitale me fait du mal
Ah, ah, ah, ah, (bis) J´envoie des bons baisers de Paris