Well, the cop made the showdown He was sure he was right He had all of the lowdown From the bank heist last night His best friend was the robber
And his wife was a thief All the children were killers They couldn´t get no relief The bungalow was surrounded When a voice loud and clear Said, Come on out with your hands up Or we´ll blow you out of here. There was a face in the window The TV cameras rolled Then they cut to the announcer And the story was told.
The artist looked at the producer The producer sat back He said, What we have got here Is a perfect track But we don´t have a vocal And we don´t have a song
If we could get these things accomplished Nothin´ else could go wrong. So he balanced the ashtray As he picked up the phone And said, Send me a songwriter Who´s drifted far from home And make sure that he´s hungry Make sure he´s alone Send me a cheeseburger And a new Rolling Stone. Yeah.
There´s still crime in the city, Said the cop on the beat, I don´t know if I can stop it I feel like meat on the street They paint my car like a target I take my orders from fools
Meanwhile some kid blows my head off Well, I play by their rules That´s why I´m doin´ it my way I took the law in my hands
So here I am in the alleyway A wad of cash in my pants I get paid by a ten year old He says he looks up to me There´s still crime in the city But it´s good to be free. Yeah.
Now I come from a family That has a broken home Sometimes I talk to Daddy On the telephone When he says that he loves me
I know that he does But I wish I could see him I wish I knew where he was But that´s the way all my friends are Except maybe one or two Wish I could see him this weekend Wish I could walk in his shoes But now I´m doin´ my own thing Sometimes I´m good, then I´m bad Although my home has been broken It´s the best home I ever had Yeah.
Well, I keep gettin´ younger My life´s been funny that way Before I ever learned to talk I forgot what to say I sassed back to my mom
I sassed back to my teacher I got thrown out of Bible school For sassin´ back at the preacher Then I grew up to be a fireman Put out every fire in town Put out anything smokin´ But when I put the hose down The judge sent me to prison He gave me life without parole Wish I never put the hose down Wish I never got old.
Traduction
Tous les champions et les héros Doivent en payer le prix, Ils passent de soixante à zéro ça ne tient qu´à un cheveu. Ils voient le visage à la fenêtre
Ils sentent une ombre là dehors. Ils ont des endroits où aller Ils ont les gens qui observent Ils doivent marcher dans leurs traces Ils doivent voir ce qu´ils voient Ils ont les gens autour d´eux. Ils obtiennent trop gratuitement Tous les souteneurs et les dealers Toute la nourriture qu´ils peuvent avaler Toutes les exclamations et les cris Quand ils marchent dans la rue. Ouais.
Il n´est qu´un vieux bonhomme riche Il ne s´est jamais soucié de personne Il aime compter ses possessions Il a été avare pour un penny. Il ne s´est jamais occupé de ses enfants
Jamais occupé de sa femme Jamais rendu personne heureux C´est comme ça qu´il a vécu sa vie. Et un jour au soleil ça a été comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu Abandonnées toutes ses possessions Vendus ses investissement aussi Et maintenant il vit avec les sans abris Il possède 900 lits d’hôpital Il préfère rester anonyme. C´est la publicité qu´il redoute. Ouais.
Il y a un juge dans la ville Il part travailler chaque jour Il passe sa vie au trinunal Il poursuit son but comme ça.
Mais je respecte sa décision Il en a dans le crâne. Il est plutôt doux avec le marteau ( les sanctions) Un peu lourd sur les amendes. Un jour il y a eu ce ménestrel Qui était accusé D´avoir fait sauter la cervelle de quelqu´un Parce qu´il avait un ampli trop gros Et que la chanson qu´il chantait Ce n´était pas par amour mais pour le fric Et bien le juge a abandonné les charges En frisant ses moustaches. Ouais.
Bien, il y a un clown au carnaval Il montait un cheval peint Il venait de quelque part dans l´ouest.
Il était très drôle bien sur Mais ce n´est pas ça qui m´a frappé: C´était la force incroyable Avec laquelle il captait le public Pendant qu´il montait son cheval Ses blagues n´étaient pas si brillantes que ça Son sourire n´était pas spécialement sincère Son spectacle n´avait rien de si sensationnel, Les raisons de son succès n´étaient pas claires. Mais il continua à se faire plein d´argent, Un jour le cirque lui a appartenu, Maintenant il est marié à une acrobate, Et ils entrainent leurs enfants. Ouais.
A présent la prison était vide, Tous les criminels étaient partis,
La porte était restée grande ouverte, Et une biche et son faon, Broutaient l´herbe dans la cour. Quand le garde-chasse entra Et prit un fusil du gardien de prison Et lui dit dans un large sourire "Tuer ces daims serait stupide, monsieur Nous les avons déjà eu ici-même Pourquoi ne pas simplement fermer les grilles et les garder Avec de l´intimidation et de la peur?" Mais le garde-chasse appuya sur la gâchette Et ces daims s´écroulèrent. Il dit " personne ne fera la différence" Et tous les deux regardèrent ailleurs. Ouais.
Alors le flic passa à l´épreuve de force.
Il était sûr d´avoir raison, Il avait eu tous les tuyaux Sur le casse de la banque la nuit dernière. Son meilleur ami était le braqueur Et sa femme était une voleuse Tous les enfants étaient des tueurs Ils n´obtiendraient pas de répit. Le bungalow était cerné Quand une voix dit haut et fort "Sortez les mains en l´air Ou nous faisons tout sauter." Il y avait un visage à la fenêtre Les caméras de télé tournaient Puis ils ont coupé pour passer au présentateur Et l´histoire fut dite.
L´artiste regarda le producteur Le producteur se rassit
Il dit " Ce que nous avons là C´est une bande-son parfaite Mais on n´a pas de voix Et on n´a pas de chanson. Si on pouvait terminer ça Plus rien ne pourrait mal tourner." Alors il renversa le cendrier En attrapant le téléphone Et dit " Trouvez-moi un auteur Qui a dérivé loin de chez lui Et assurez-vous qu´il ait faim Assurez-vous qu´il soit seul Livrez-moi un cheeseburger Et le dernier Rolling Stone. "( magazine) Ouais.
Donc, les Sioux et les Dakota Ils ont perdu toutes leurs terres
Et maintenant un joueur de baseball Essaie de leur prêter main forte Peut-être qu´un jour il sera président C´est un type assez populaire Mais à présent le chef a des réserves Et l´homme blanc a des plans Il y a des oppositions au Congrès Le projet de loi se heurte au fric On ne peut vraiment pas prévoir Si il va s´envoler ou s´écraser Mais c´est la nature des politiques C´est le nom du jeu Voilà à quoi ça ressemble dans un tipi Les grands vents soufflent de nouveau
"Il y a toujours de la criminalité dans la ville" Dit le flic de terrain "Je ne sais pas si je peux l’arrêter, Je me sens comme de la viande dans la rue (comme à l´abattoir) Ils ont peint ma voiture comme une cible. Je reçois mes ordres de cinglés Pendant que des gosses me font péter les plombs. Bon, je joue selon leurs règles C´est pour ça que je fais comme je le sens J´ai pris la loi en mains."
Me voici donc dans la ruelle Une liasse de billets en poche, J´ai été payé par un gamin de dix ans Il a dit qu´il m´avait à l’œil. Il y a toujours de la criminalité dans la ville Mais c´est bon d´être libre. Ouais.
Maintenant je viens d´une famille Dont le foyer est brisé Parfois je parle avec Papa Au téléphone. Quand il me dit qu´il m´aime Je sais que c´est vrai, Mais moi je voudrais le voir Je voudrais savoir où il est. Mais tous mes amis sont dans le même cas Sauf peut-être un ou deux. Si seulement je pouvais le voir ce weekend Si seulement je pouvais marcher dans ses pas. Mais maintenant je fais mes trucs à moi Parfois je suis gentil, après je suis mauvais. Bien que mon foyer soit détruit C´est le meilleur que j´aie jamais eu. Ouais.
Bon, je continue de rajeunir Ma vie a été marrante comme ça. Avant même d´avoir appris à parler J´ai oublié ce que j´avais à dire. J´ai été insolent envers ma mère J´ai été insolent envers mon prof Je me suis fait virer du cathé Pour avoir été insolent envers le prêtre. Ensuite j´ai grandi pour devenir pompier Eteindre tous les incendies de la ville Eteindre tout ce qui fume Mais quand j´ai jeté la lance d´incendie par terre Le juge m´a envoyé en prison, Il m´a mis perpétuité, sans conditionnelle. J´aurais voulu ne jamais jeter la lance J´aurais voulu ne jamais vieillir.