Mes rêves viennent du sud, j’ai pris le large, je ne ferai pas demi-tour Lis-le sur mes lèvres, ressent ma rage, de vaincre
Et j’ai versé des larmes, ma douleur est mon arme, fuyez Je reviens d’un endroit, où j’ai vu beaucoup d’âmes souillées, souillées
Mais malgré tout, je ne regrette rien, je sais que j’y arriverai Tous les jours, je bosse non stop pour quitter le
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
Dites-moi qu’est-ce qui pourra m’arrêter À part la mort ou la maladie qui peut me stopper
Papa regarde où en est ta fille Toujours à défendre tous nos principes Mais dans ce milieu ça pourrait me nuire Je leur donne quand même mon plus beau sourire
Ils veulent me pousser dans le vide Et voudraient me faire croire que toutes les places sont prises Jours après jours je m’écris, sachant qu’ils me négligent Sans parler qu’ils me méprisent
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
La route est longue, la route est longue Je continue ma marche, je continue ma course La route est longue, la route est longue
La route est longue, la route est longue Je continue ma marche, je continue ma course La route est longue, la route est longue La route est longue
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah