Je suis ce jeune à l’écart, montré du doigt On s’est moqué de moi, combien de fois J’ai vu dans leurs regards, ma différence Dites-moi donc si je parle, qui m’écoutera
Je ne veux plus me réveiller, je ne veux plus les voir J’évite même mon reflet, et tous ces miroirs Je préférais vous laisser indifférent Dites-moi donc si je pars, qui le verra
Mais parfois j’ai beau crier, on me regarde tomber Fatiguée de me cacher, je suis toujours debout Toujours debout, surement grâce à vous Surement grâce à vous Je suis toujours debout, toujours debout Surement grâce à vous, surement grâce à vous
Vous avez pris mon enfance et mes rêves Un peu d’espoirs moi c’est tout ce qu’il me reste J’ai plus grand-chose que voulez-vous que je laisse
Que voulez-vous, que voulez-vous
Je viens de si bas, jamais vendue mon âme Plus tard, les gênes, mon cœur n’est plus le même Dans ce monde éphémère j’ai fait des kilomètres Pour des mains j’ai couru après mes rêves M’accrocher à ma foie, tellement parano Et dans ce monde tout me semble faux
Mais parfois j’ai beau crier, on me regarde tomber Fatiguée de me cacher, je suis toujours debout Toujours debout, surement grâce à vous Surement grâce à vous Je suis toujours debout, toujours debout Surement grâce à vous, surement grâce à vous
Vous avez pris mon enfance et mes rêves Un peu d’espoirs moi c’est tout ce qu’il me reste J’ai plus grand-chose que voulez-vous que je laisse Que voulez-vous, que voulez-vous
Que voulez-vous, que je dise, que voulez-vous que je laisse Que voulez-vous, que je fasse, tourne la roue, ou bien reste Que voulez-vous, que je dise, que voulez-vous que je laisse Que voulez-vous, que je fasse, tourne la roue
Je suis toujours debout, toujours debout Surement grâce à vous, surement grâce à vous
Je suis toujours debout, toujours debout Surement grâce à vous, surement grâce à vous
Vous avez pris mon enfance et mes rêves Un peu d’espoirs moi c’est tout ce qu’il me reste J’ai plus grand-chose que voulez-vous que je laisse Que voulez-vous, que voulez-vous