Y a des humains faut pas parler avec eux, faut les faire d´abord Regrette pas les biftons quand les porcs frappent à ta porte Les humains qui veulent ta poche, collent ceux qui veulent ta peau
Dans la rue, j´ai pas eu d´papa, le mien c´était l´pe-pom Tu crois qu´c´est un fatigué qui va m´valider ? Moi, j´ai un vécu peu commun et même la juge a paniqué J´me r´vois avec Alfonse d´Riquet a tourné en prom´nade Élaborer des plans et d´se promettre d´tout niquer Porcheville, Villepinte, Osny, Fleury, j´ai fait les quattro C´est pas drôle, j´en suis pas fier, j´ai juste eu pas d´bol Renseigne-toi, j´ai d´jà sûrement soulevé ton patron En c´moment, j´suis au 4 routes, j´trafique avec mes reubeux mahloug Sache que j´vis aucun rêve et si tu crois qu´on vie qu´une fois, j´peux t´prouver l´contraire avec mon tokarev
J´disparais, j´réapparais, on fait pas pareil les choses Moi, j´suis trempé d´dans et sur ma mère qu´j´suis préparé Comme mes nogentais à 60 kilomètres de Paname La juge nous encule notre jeunesse, on r´ssort la dalle de Kanan Maintenant pour rien ça s´canarde, ici les bananes sont banales Il a touché à mon honneur, j´étais obligé d´sortir la kala Et ouais la rue est rude et rusé ceux qui y font des loves T´es dépendant d´ton ssiste-gro, pourtant tu sais qu´il donne des noms Mais toi tu veux qu´l´terrain ne-tour mais dans la rue, on est vite au courant On a né-tour bonvieu et c´est bientôt mon tour
Depuis minot, j´suis trempé d´dans l´bonvieu J´ai pas eu d´grands, j´avais les gants et la goule-ca pour l´bénéf´ J´regrette uniquement pour les rents-pa Le bonheur ou l´orage, ça casse ou ça paye CJD, j´gérais d´jà tout au penav, Villepinte maison d´arrêt Mes bonvieux s´plaignent pas sous grosses peines C´est toujours les mêmes condamnés
Quand j´tournais tu m´calculais pas, t´étais où quand à un moment j´ai dû bicrave en promenade pour m´assumer ? Mais t´oublies qu´le bonvieu, c´est un rat On a les contacts bien avant d´remplir les bons d´cantine En comparution immédiate, direction mandat dépôt
Logique, tu ressors pas d´une GAV après taper une que-ban T´es née t´à´l´heure et tu m´parles de grand banditisme, de tes-boî Moi, j´suis vrai et j´ai même des vrais bonvieux d´ta ville comme témoin Mal accompagnée, pourtant j´suis seul Ma gamberge fait flipper, elle est sale, parce que j´saigne abondamment Là-celle dit qu´elle et moi, c´est scellé Mais quand j´vais passer aux assiettes, elle va même pas supporter un an J´passais en commission, j´étais injoignable au tel À faire cinq années pleines et presque un an au Q.D Et j´vois qu´des mecs sortir, rentrer, de nouvelles têtes
Prudent parce que les ERIS aimaient r´passer ma cellule
Depuis minot, j´suis trempé d´dans l´bonvieu J´ai pas eu d´grands, j´avais les gants et la goule-ca pour l´bénéf´ J´regrette uniquement pour les rents-pa Le bonheur ou l´orage, ça casse ou ça paye CJD, j´gérais d´jà tout au penav, Villepinte maison d´arrêt Mes bonvieux s´plaignent pas sous grosses peines C´est toujours les mêmes condamnés