[Niro] Tu fais rien d´ta vie mais tu donnes ton avis comme un mec de twitter Quelques RT ton heure de gloire s’arrête ce soir à dix-huit heures
Pas la peine de me demander ce que j´en pense du rap game moi j´suis pas auditeur Réveille pas l´eau qui dort j´vais nehess au mitard allumez vos leader retrouvez vos videurs J´vais pas passer ma vie à manquer mes rêves J´ai arrêté de rêver maintenant j´vais la vivre C´est pour rendre un bout d´terre à la Palestine si demain j´achète un terrain à Tel Aviv J´vais pas te faire aujourd´hui parce que demain c´est mieux, çà s´est suivi d´un drame on a fait la fête Aimez-vous entre vous c´est c´qu´à demandé Dieu mais comme on est ingrat on a fait l´inverse Le père est raciste et leur mère est chaude ironie du sort leur fils vient pécho Sel3a sur le réchaud ils venaient la prendre On l´savait même quand il nous cachaient les choses
Je connais très bien les gens bizarres que tu vesqui Si j´les connais pas gros mes rats les connaissent Igo Paris c´est petit si t´es pas réceptif (personne va te sauver gros même pas tes collègues) Bats les couilles d´ta ville, bats les couilles d´ta vie Igo lève la main, on rafale ta vitre Tu veux la guerre ok y´aura pas d´arbitre Quand ça ira loin, suce-moi pas la bite Moi j´suis plus un voyou mais les voyous m´aiment Mais quand j´étais voyou on s´est détesté C´est bizarre la vie, j´veux pas y rester Mais ma peur est moins forte que toute ma fierté On ira faire les choses bats les couilles de c´que t´as fait, à quoi bon sert d´faire les chaud comme ces grosses tapettes
Vas-tu assumer la guerre après le tête à tête, quand on sera devant ta fenêtre pour te faire ta fête ? Tu fais preuve de bonté mais sans la volonté la défaite vaudra jamais une putain de victoire Tu nous parles de la rue mais la rue c´est ma vie donc tu parles de ma vie fils de pute applique-toi
C´est la loi d´la demande et du chiffre, j´ai la dalle que d´la fumée dans l´ventre Le bénéfice d´la beuh et du shit, j´ai assumé d´en fumer, d´en vendre J´leur crée du tort comme la réussite, gros, les temps changent, crois pas qu´ça m´enchante T´as pas assez d´sous pour le prix du feat´, toujours buteur comme un avant-centre J´connais leurs causes, leur valeur en cash, ils s´mettent à nier, tu sectionnes les doigts
Ils sont en gamos, tout l´monde les regarde, j´arrive à pied, plus personne les voit Le peu d´gens sur qui j´peux compter, j´crois j´peux même pas les compter sur les doigts Et même si on s´en bat les couilles de toi, si tu nous donnes, on t´redonne deux fois Tu nous pardonnes, on t´pardonne deux fois, à la troisième, on déboule chez toi Ils veulent pas savoir c´que tu défends, ils veulent juste savoir t´as touché quoi T´as touché l´toit ou t´as touché l´fond, ils veulent savoir si t´as tout chez toi T´as poussé qui et t´as trouvé quoi, t´as coulé qui et t´as fouffé quoi Les frères le savent, ici, tout est bon, tu comprends pas trop qui on emploie J´préfère ceux qui ont des doutes et font, c´que ne font pas ceux qui n´en ont pas
La jalousie finit sous mes pompes, la victoire, c´est l´plus fort qui s´en empare Tout c´qui nous tue pas nous rend plus fort, forts et vivants sont mes salopards, ba-bang
J´ai pas l´temps pour ces putes avérées Loin du bateau, j´le vois chavirer Si l´camp d´en face tire, on va tirer Si l´camp d´en face tire, on va tirer J´ai pas l´temps pour ces putes avérées Loin du bateau, j´le vois chavirer Si l´camp d´en face tire, on va tirer Si l´camp d´en face tire, on va tirer