[Disiz La Peste] Cercle rouge, cercle vicieux J´rêve d´un putain d´carré bleu Neuf-un, Évry, c´est dangereux Y´a pas trop de gens heureux
[Disiz La Peste] R.I.P à ceux qu´ont voulu m´´quer-n´ Street Fighter, je te Hadoken J´vais t’éclater comme à l´ancienne C´est qui l´fragile maintenant qu´t´as plus d´zen´ ? J´me bagarre en débardeur Ex-caillera, ex-prédateur Pure produit de la P.L.C J´te mets une droite et c´est l´inertie Ça démarre au quart de tour J´te fais la haine, j´te fais l´amour Le FN, c´est des metteurs en scène Jettent Brahim depuis le caroussel Donc nique leur mère et nique leur haine C´est plus comme avant, j´ai plus de peine J´vais tout couper, t´auras plus de veine
Tu seras plus qu´un tronc, t´auras plus de ´sse-f´ T´es plus un thon, plus qu´une sirène Corps fatigué, gueule de murène Même avec toi, je me bagarre Michto´ bizarre, là, dans la gare C´est des familles qu´tu veux hagar Entre toi et moi, y´aura pas d´histoire Pauvre de toi, non, starfoullah J´vais t´allumer, comme à Hanoucca En pleine lucarne, à la Anekla Incompris comme Ben Arfa Ça fait quinze ans qu´on m´dit qu´c´est la fin J´avais la haine car j´avais la faim Han, ´tisse-mé´ dans le train Renoi foncé veut en découdre Car la jolie Peul sur le strapontin C´est sur mon épaule qu´elle a mis son coude
Donc coup d´boule-ing sur ses ratiches C´est c´que j´fais quand t´es raciste Évry, Évry, c´est dangereux Y´a pas trop de gens heureux
[Disiz La Peste] Nique le refrain, nique le refrain Nique le refrain, nique-le bien Nique le refrain, nique le refrain Nique le refrain, nique-le bien
[Niska] Neuf-un sur le pare-choc ; cheval cabré, plusieurs sorties de pot J´traîne dans les coins du chantier du coq, plusieurs gardes-à-v´, plusieurs sorties d´dépôt Les pochetons partent comme des pains ; la brigade des stups ose sortir l´hélico´
Elles disent toujours que c´est pas des tchoins mais font rodéo sur nos cocoricos Rien à foutre qu´ils m´invitent pas trop dans leurs disques À c´qu´il p´ que j´ai pas la dégaine pour qu´on me médiatise J´traîne avec des loups, on n´est venu que pour niquer, y´a personne sur la piste Nouveau riche, sa mère, et, quand je rentre dans la boîte, tout l´monde me fait la bise J´fais que du sale, évidemment, donc ils se demandent comment je fais la dif´ [?], ouais, ouais, [?], tu l´sais, bah ouais J´fume ma dope, j´suis dans les [?], ils se demandent comment j´les ´ué-t´ [?], ouais, ouais, [?], tu l´sais, bah ouais J´fume ma dope, j´suis dans les [?], ils se demandent comment j´les ´ué-t´
[Disiz La Peste] Ton problème, c´est qu´tu confonds Être un gentil, être un bouffon Maintenant, tu regrettes, ça change de ton Ça dit : "Cousin", ça demande pardon Quand tu draguais même femme enceinte T´es en ver de terre, t´es pire qu´en chien T´es tout gluant, comme un lombrique Francky Vincent, ghetto lubrique Donc j´t´ai bien gonflé les yeux Homer Simpson, t´es globuleux J´ai des globules rouges, des globules bleues Des globules glace, des globules feu J´ai les stigmates de mon quartier Beaucoup d´violence et d´amitié Si t´as trop de biscotos Ça se perce aux coups d´couteu
C´est toujours les mêmes symptômes J´ai le banlieusard syndrôme Parfois revient en écho Donc j´refais toute la déco´ Et je m´achète une moto Je dépasse toutes les autos Je bombarde en CBR Et les gosses voient moins leur père Je deviens un étranger Pour cette violence, j´vais t´étrangler Et ma banlieue m´a niqué Ma banlieue t´fait paniquer
[ Disiz La Peste & Niska] Cercle rouge, cercle vicieux J´rêve d´un putain d´carré bleu Neuf-un, Évry, c´est dangereux Y´a pas trop de gens heureux