Passif à la manière d´un Hippolyte J´arpenterai tes monts, tes récifs Je pasticherai tes pas de fuite Même si je n´en saurais jamais la ... Toujours à court de paroles, je n´finis rien de moi
Poser du vent sur la toile, elle restera blanche de toi Je ne suis plus assez pour contrer le mistral Je ne suis plus assez pour compter les étoiles
Rentre, sans m´écrire un peu Je couvrirai mes yeux Avec la brume des gens heureux Avec le temps des adieux, mon amour Adieux, pour toujours Je veux encore crier ton nom pour assourdir mes jours Le temps des adieux, mon amour Adieux, pour toujours Je veux partout traîner mon cœur qui se brise dans son parcours
Vivre comme deux épouvantails qui se font face
C´est une constante bataille dans nos crevasses Et rouille la ferraille qui forge mes angoisses Et brûle toute la paille sous mon cœur qui se glace Je m´imagine des effets qui me donnerait l´air un peu vrai Je n´ai pas les mêmes fins d´été depuis que l´aurore s´est arrêtée Et rouille la ferraille qui forge mes angoisses Et brûle toute la paille de mon lit qui s´efface
Rentre, sans m´écrire un peu Je couvrirai mes yeux Avec la brume des gens heureux Avec le temps des adieux, mon amour Adieux, pour toujours Je veux encore crier ton nom pour assourdir mes jours
Le temps des adieux, mon amour Adieux, pour toujours Je veux partout traîner mon cœur qui se brise dans son parcours
Va recoudre ton fil File en Italie Soigner ton manque de folie Va, vis de ralentis Filme tes souvenirs Et ne me reviens pas
Adieux, mon amour Adieux, pour toujours Je veux encore crier ton nom pour assourdir mes jours Le temps des adieux, mon amour Adieux, pour toujours
Je veux partout traîner mon cœur qui se brise dans son parcours